La question des propriétés énergétiques de telle ou telle plante fascine dans le domaine spirituel et ésotérique. Il en est de même dans les questions de pharmacognosie, et vous verrez que certains des critères rentrent en direct ligne de compte aussi pour les propriétés pharmaceutiques.

Le problème c’est que la plante a beau être une plante, elle est aussi le fruit de tout ce qu’elle a vécu. Tout. Vraiment tout.
Un humain est le fruit de sa vie, l’étant, et de ce qu’il est, l’être. Génétique et épigénétique.
La plante, c’est pareil. Et donc énormément de critères sont à prendre en considération quand on souhaite étudier en profondeur la nature énergétique d’un végétal. Depuis le caractère généraliste, au caractère spécifique. Caractère spécifique que l’on peut parfaitement rechercher, amplifier, exploiter.
Un jardinier peut ainsi avoir trois plants de sauge officinal dans trois coins du monde, qui auront un caractère généraliste : purifiant, mais des caractères spécifiques totalement différents : purifiant de l’environnement, purifiant du corps, purifiant des entités. Parce qu’il aura travaillé à cet aspect, de la récolte de la graine, à la question de plants qui ont des tendances naturelles, jusqu’aux éléments de la récolte.

L’homme, depuis la fin du nomadisme, avec le début de l’agriculture, a su apprendre à exploiter les végétaux : sélectionner les plants les plus adaptés, ceux qui supportent un climat, qui ont un rendement suffisant.
Et cette capacité à comprendre l’agronomie est parfaitement applicable à l’ésotérisme, dans une quête de recherche de perfection énergétique dans la précision et/ou la puissance de la plante.
Inutile d’inventer le fil à couper le beurre, beaucoup a été fait au fil des millénaires pour comprendre les modalités de choix d’un végétal. Mais des éléments ne sont pas à négliger spécifiques aux énergies.

La façon dont on va moduler les éléments en présence ne va pas forcément influencer toute la plante de la même façon. Racine, feuille, fleur, graine exprimerons de façons différentes.

Petite revue non exhaustive des éléments influençant et donc à prendre en considération :

TERRESTRE :

La nature du sol va directement intervenir. Tous les composants vont influencer par leur nature :
bactérie, champignon, insecte, nature du sol : calcaire, argile, autre.
Une terre pauvre n’est pas directement un problème, certaines plantes poussent sur les cailloux, mais d’autres ne le supporteront pas. Ce n’est pas que la nature du sol physique qui est à prendre en considération, aussi ses courants énergétiques sous-jacent, dans lesquels les racines des plantes vont s’installer. Et certains éléments du sol vont directement intervenir dans la circulation des énergies : une poche d’eau, un bloc de granit, une falaise de calcaire…Connaitre sa terre est aussi important que connaitre sa plante.

Les renforcements : selon les ajouts à la terre (poudre de corne, humus, plantes décomposées comme le colza…) on peut tout à fait renforcer un élément de la plante. Système racine, engendrer plus de fruits, produire plus de feuilles. Les éléments biochimiques du composé du sol auront aussi un impact énergétique. Et donc améliorer une qualité spécifique.
Rappelons que fleurs, feuilles, racines n’ont pas les mêmes qualités biochimiques et énergétiques.

Les associations végétales : faire pousser deux espèces différentes l’une à coté de l’autre, que ce soit pour des questions de préservation face à un insecte, ou dans une complémentarité énergétique. Associer c’est engendre des synergies. Qui là encore peuvent s’étudier. Le but n’est pas de coller deux plantes de purification l’une à coté de l’autre, elles ne sont pas forcées de « s’entendre », mais par exemple une plante qui a tendance à tempérer le feu (verveine), avec une plante qui peut être trop solaire et qui a une visée de guérison (le souci).

Pierres : Il est facile de modifier la couleur des fleurs du rhododendron avec de l’ardoise disposé au pied de la racine (les fleurs passent de rose à bleu sur ces plants).
Il est possible de faire pareil, en ajoutant des pierres précises au niveau des racines d’une plante : pointe de quartz (idéalement placée pointe en dehors de la terre, pour véhiculer la lumière solaire/lunaire jusqu’aux racines), ou autre élément de votre choix (faites vos recherches, ça vaut le détour).

-> Entre terre et ciel :
Arrow Rudolf Steiner et la biodynamie

CÉLESTE :

Comme je ne vais pas inventer le fil à couper le beurre :
Arrow Travail avec les rythmes lunaires, planétaires et zodiacaux

La question de l’orientation ne doit pas faire négliger le pouvoir de la lumière (au sens physique les cocos) :
une plante qui reçoit beaucoup de lumière solaire, lunaire, n’aura pas les mêmes influences énergétiques reçues. Et tout en prenant en considération que des plantes ne supporteront pas cette lumière ou survivrons avec peu. Là encore, la nécessité de moduler, de comprendre la nature de la plante et la façon dont on peut l’orienter, est une nécessité absolue.

HUMAIN :

Attention à ne surtout pas négliger cette influence majeure, si vous vous occupez quasi quotidiennement de votre plante. Ou une autre personne.
Parler avec ses plantes ? Très connu. Il se peut même que les plantes se « parlent » entre elles, mais c’est encore une autre question.
Votre geste, votre intention va directement influencer dans l’interaction la nature de la plante, avec plus ou moins de profondeur et dans les limites mutuelles de ce qu’elle est en terme physique et ce que vous êtes.
Ce n’est pas de la programmation, c’est une question d’harmonique : donner envie à la plante de passer d’une note « la » à « sol » tout comme vous pouvez l’inciter à pousser de travers, ou spécifiquement sur une forme (les poiriers en escalier).

ENTITÉS :

Dans beaucoup de spiritualités animistes, des entités sont associés aux plantes.
Il est donc possible d’utiliser ce genre de rapport pour renforcer les énergies d’une plante, dans une visée d’usage de magie évocatoire par exemple.
Ou de travailler sur le rapport aux archétypes, des plantes liées aux dieux/déesses, qui serviront exclusivement à des offrandes à ces dieux/déesses.
Ou dans la dimension animiste, travailler le contact avec l’esprit de la plante (esprit de la plante étant esprit de la nature de la plante, pas de votre plante spécifique sur votre coin de bureau)

Bien à vous, Hagel

Source: http://equinox.over-blog.net


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Texte partagé par les Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre