Bonjour mes frères, mes sœurs,

Je suis Thot l’Atlante, de tout temps j’ai été présent parmi vous, de tout temps j’ai œuvré à ce que je pensais être la plus grande œuvre sur Terre, jusqu’à aujourd’hui.

Me voilà maintenant devant vous pour vous parler un petit peu de moi.

Alors que je marchais comme le plus simple des hommes sur la terre que vous avez appelé Atlantide, je me souviens d’un moment fort en particulier, que j’ai vécu. À cette époque, les hommes et les femmes ne connaissaient pas ce que vous appelez la servitude, l’esclavage ou encore l’asservissement des uns sur les autres, chacun et chacune se respectaient d’un commun accord appelé le bien commun, chacun savait quelles étaient les limites à honorer afin que tous puissent jouir de la beauté de la lumière.

Ainsi, alors que je marchais comme le plus simple des hommes parmi les hommes, une chose me revenait souvent en tête, je me demandais pourquoi chacun et chacune se complaisaient tant dans leurs tâches quotidiennes, quelle était leur source de motivation, je dois bien vous avouer que pour qu’il y ait eu un tel questionnement en moi il fallait bien que moi-même, je sois motivé par quelque chose de plus élevé (rires). Le fait est qu’en ce temps, voyez vous, chacun savait intimement son rôle et sa tâche afin de servir le grand Tout infini.

Un beau jour je rencontrais donc une femme qui m’indiqua l’objet de ma recherche, ni une ni deux j’allais alors rencontrer l’homme qui me servirait d’intermédiaire afin de rencontrer les hautes instances.

Quelle ne fut pas ma surprise alors que je m’approchais de lui pour lui présenter ma requête, il me répondit que pour que chacun puisse Exister il était nécessaire qu’à travers son travail il soit au courant de sa filiation avec le grand Tout ou l’Éternel, que pour que chacun puisse en réalité obtenir la plus belle des pommes de son arbre il devait avant tout avoir reconnu le trésor qui était chez lui et en peser le prix.

Je regardais le vieil homme alors qu’il discourait et je reconnus en lui ce que je cherchais, dans ses yeux, cette étincelle d’amour, de vie qui nous poussait tous en réalité à poursuivre la plus grande œuvre, celle de la vie, de la grande Vie qui crée à chaque instant de plus beaux chefs-d’œuvre.

Quand l’homme eut terminé de parler, je le remerciais et respirais alors à plein poumons, je me dis à moi-même, tu vois Thot, comme tous tu respires, comme tous tu expérimentes et comme tous tu accumules en toi le grand savoir universel.

Je compris alors que le questionnement lui-même n’avait de sens que pour ceux qui se pensent séparer de la grande Volonté universelle, de la grande intelligence et c’est à partir de cet instant que je su que rien, absolument rien ne saurait entraver la bonne marche de l’univers, ainsi, à partir de là, je vécu comme un homme, mais pas comme un simple homme parmi les hommes, plutôt comme un être au service de la vie elle-même, un serviteur de la grande vie, du grand feu d’amour qui brûlait en moi et qui continue d’étendre sa flamme encore aujourd’hui.

Voilà mon histoire chers enfants de la Lumière, chers enfants du grand Amour qui brille en vous, soyez bénis, soyez aimés, je vous connais.

Par Guillaume Lemé ( Facebook : Guillaume Lemé )

[Source] https://www.facebook.com/guillaume.leme


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Texte partagé par les Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre