Entretiens d’Octobre 2019

O.M. Aïvanhov (Partie 2)

29 Octobre 2019 (Tunisie)

Eh bien, chers amis, nous allons donc pouvoir poursuivre notre entretien, nos échanges, avec toujours le même grand plaisir et la même joie.

Alors qui veut commencer à exprimer, à questionner, à témoigner, ce que vous voulez.

Sœur : Si une personne veut parler …

Sœur : J’ai fait un rêve il y a quelques jours. J’étais en train de prendre une position yoga ou quelque chose comme ça et un grand état de paix est arrivé, et dans mon rêve, je disparaissais dans le noir, et en même temps, j’avais conscience que dans mon lit, je disparaissais en même temps, et les deux plans de conscience ont disparu ensemble dans le noir.

C’est la réabsorption dans le trou noir, tout simplement, qui t’est montrée en rêve, et qui est vécue aussi dans le rêve, qui est, dans ce cas-là bien évidemment, et je dirais non pas une prémonition, mais une répétition du scenario écrit tout simplement. C’est quelque chose, vous le voyez pour ceux qui rêvent encore ou qui font des cauchemars, dans vos nuits, toutes les situations, de toutes les manières possibles, au-delà de l’interprétation du rêve, vous conduisent à vous approcher de ce temps zéro, de toutes les manières possibles.

Et comme tu le dis à travers ce rêve, les deux consciences, la conscience corporelle, la conscience personnelle, et la supra-conscience ont disparu dans le trou noir, tout simplement. Alors, pourquoi c’était lié à une position, comme tu dis, de yoga ou du corps, particulière, ça je ne sais pas.

Nous pouvons continuer.

Vous remarquez comme dans nos échanges, déjà depuis quelques semaines, quelques mois, il y a de moins en moins de questionnements, mais plus, de plus en plus, je dirais un besoin de partager vos vécus, vos témoignages, vos expériences et votre état. Il y a bien plus une résonance effectivement sur cette notion de partage, de communion comme je disais. C’est tout-à-fait réel et de partout d’ailleurs.

Mais vous avez le droit de poser des questions aussi, bien sûr. Et vous êtes bien silencieux après la pause.

Sœur : Pendant la pause, certaines personnes se posaient des questions sur novembre noir. Est-ce que vous pouvez nous en dire plus ?

Ah ben, c’est à vivre, c’est la surprise.

(Rires)

Vous voyez bien la tournure qu’ont prise les évènements depuis plusieurs mois et l’accélération de ce mois d’octobre. Et bien ça va poursuivre sur la même lancée je dirais sur une autre octave, c’est-à-dire que vous allez assister aux évènements qui se sont produits durant ce mois d’octobre, que ce soit au niveau des sociétés, au niveau des pays, au niveau des éléments, qui va prendre une tournure, je dirais de plus en plus globale. C’est comme si il y avait une épidémie de prise de conscience, de révolte, de révolution, et en même temps, aussi une prise de conscience de plus en plus globale là aussi des évènements climatiques qui surviennent sur cette terre, afin que beaucoup, beaucoup, même dans le déni, ne puissent plus ignorer en quelque sorte ce qui est en train de se produire.

Quel que soit le positionnement de départ, quelle que soit l’adhésion à des prophéties, à des textes écrits, dans toutes les traditions bien sûr, c’est-à-dire qu’il y a une sorte de prise de conscience dans ce novembre noir de l’éminence de quelque chose de énorme, à tous les niveaux de la société, des climats, de l’activité géophysique et cosmique.

Il y a une prise de conscience, on peut dire collective, de ce qui est en train de se dérouler. Même si vous ne connaissez pas  la teneur précise des évènements liés à des aspects, astronomiques, cosmiques et planétaires, vous ne pourrez en ignorer les conséquences. Elles deviendront de plus en plus palpables, non pas là non plus pour vous punir, mais pour entraîner cette forme de prise de conscience que quelque chose de réel et de planétaire, et de cosmique, est en train de se dérouler partout de façon synchrone.

Que ce soit sur les planètes du système solaire, que ce soit sur le Soleil lui-même, que ce soit sur l’activité des éléments, comme les activités des pays et des aspects sociétaux, tout simplement, mais aussi à titre individuel dans vos vies.

Tout à l’heure, nous avons parlé de cette espèce de précipitation, de service aux autres rendus de cette façon, et afin de dévoiler et de révéler. Et bien, ça va être de plus en plus prononcé, même à titre individuel, ce à quoi vous avez résisté par une certaine forme d’ignorance en l’établissement d’Agapè, va vous être montré de façon de plus en plus directe et de plus en plus insistante, pas nécessairement la souffrance, mais au niveau, je dis bien, des évènements qui surviennent dans votre propre vie et dans votre environnement, je dirais, le plus proche et le plus intime, parallèlement à l’aspect que je disais global.

Et c’est cette simultanéité de ce qui est global et apparemment individuel ou proche qui va faire questionner sur le sens de tout ça, c’est-à-dire que la phase de déni du choc de l’humanité va rentrer bien évidemment dans la colère, liée à la révélation des choses cachées de ce monde, mais aussi des choses cachées de la cosmogonie, mais aussi du cosmos et du système solaire.

Beaucoup de choses vont apparaître, à tous les niveaux, que ce soit au niveau visuel, que ce soit au niveau évènement, que ce soit au niveau même de perceptions, là je peux le dire, nouvelles, concernant Agapè et concernant le rêve en lui-même. C’est donc une forme de conscientisation qui va à marche forcée vous amener à sortir, pour certains de nos frères et sœurs, la tête du trou où ils l’avaient enfouie, à travers le déni, pour essayer de perpétuer une certaine forme de confort.

Tout cela, si vous voulez, va se révéler à vos yeux dans votre entourage, c’est-à-dire tout ce qui était camouflé, tout ce qui était caché, tout ce qui était secret, ne pourra plus l’être, c’est un éclairage total, c’est pour ça que j’ai nommé novembre noir, contrairement, ou en succession, à octobre rouge. Ces mots que j’ai employés ne sont pas par hasard, mais vous renvoient aux différentes œuvres alchimiques qui avaient été évoquées avant les noces célestes, durant l’année 2008, par l’archange Jophiel, que je vous invite, non pas à relire, mais à parcourir, quand il vous parlait de l’œuvre noir, l’œuvre rouge, l’œuvre blanc, l’œuvre jaune.

C’est exactement cela qui avait été énoncé durant l’année 2008 en préalable aux noces célestes, et qui va aujourd’hui vous apparaître clairement dans sa signification profonde, et dans le vécu de votre mois de novembre.

Donc je vous invite à feuilleter un peu ce qu’avait dit l’archange Jophiel, concernant la connaissance et concernant l’œuvre alchimique, parce que vous y trouverez des éléments de votre vécu. Il va y avoir un éclairage, je l’ai dit, il va y avoir des perceptions nouvelles de ce qui était occulté, même au plus proche de vous, même en vous, des choses auxquelles vous n’aviez pas accès, qui sont à la fois un éclairage, comme je l’ai dit, mais aussi un bouleversement que je qualifierais de salutaire quelque part.

Je vous rappelle que le choc de l’Humanité, tel que Shri Aurobindo en avait parlé, c’est tout d’abord le déni, ensuite la colère, ensuite la négociation, et ensuite l’acceptation. On peut dire que cette période de novembre va mêler à la fois l’impossibilité de dénier ce qui est en train de se produire, et en même temps, une forme, pour certains, de négociation, mais aussi pour beaucoup d’entre vous qui vivez tous ces processus, même de façon incomplète, va se trouver accepté.

Parce que la contrepartie c’est la Joie. Et beaucoup de frères et sœurs, qui jusqu’à présent étaient dans le déni, vont se retrouver subitement en Joie, quels que soient, et justement grâce aux évènements qui se jouent sur la scène de théâtre, mais aussi, je l’ai dit, dans le cosmos. Que ce soit par exemple la présence des vaisseaux, vous savez qu’il y en a de plus en plus, qui apparaissent de partout, encore pour certains camouflés si je peux dire à travers des formes de nuages, mais tout ça c’est la Vérité.

Les circonstances de l’observation du ciel vont aussi changer et je ne parle pas de la visibilité de Nibiru, quoi que ça peut survenir n’importe quand, mais plus probablement une espèce de bouleversement du ciel, préalable à ce qui avait été annoncé dans l’apocalypse de Saint Jean, et concernant la chute, rappelez-vous de ce qui était écrit, un tiers des étoiles chuteront sur Terre.

Dans l’Islam, on vous parle d’autre chose, on vous parle de la Lune fendue. Tout ça vous allez le voir, réellement et concrètement. C’est ça qui va ébranler les fondements mêmes de la société, et je dirais de la conscience quelque part collective de la noosphère de Gaïa.

Nul ne pourra l’ignorer, même ceux qui ont la tête dans le trou. Ça viendra vous heurter, ça viendra aussi vous réjouir, ça viendra vous affermir dans cette espèce de foi en qui vous êtes, même si vous ne le vivez pas encore. C’est donc un immense changement.

Et je n’ai pas parlé encore de basculement des pôles, ou de grille-planète. Mais je parle de découverte ou de redécouverte plus précisément. C’est directement lié à l’Intelligence de la Lumière, à l’éclairage de la Lumière, et à tout ce qui va être donc visible, perceptible, ressenti, au sein de la conscience éphémère, au sein-même de votre vie, comme à l’échelon de la société dans sa totalité.

Vous savez bien évidemment que les méchants garçons, les guignols, tous ceux qui ont le pouvoir, ont tout fait dans la mesure du possible pour vous éviter de penser aux bouleversements, en vous mettant dans la culpabilité, en disant, mais c’est la faute de l’homme, mais ce n’est pas la faute de l’homme bien sûr. Et ça vous allez être innombrables à la surface de cette Terre à vous questionner, mais en ressentant que quelque chose d’énorme est en train de se préparer et d’arriver réellement sur le plan physique et sur le plan dense.

Ça va prendre d’innombrables tournures, si je peux dire, ça va concerner d’innombrables structures, d’innombrables choses, constituant la vie au sein du rêve. Il en sortira, comme je l’ai dit, quel que soit le chaos, quelle que soit la surprise, une Joie de plus en plus claire, de plus en plus établie comme une certitude.

C’est-à-dire que vous aurez une espèce d’avant-goût de l’évènement final, si je peux dire.

Mais ça vous mettra en Joie, rappelez-vous, même ceux qui seront en colère. Là, tout à l’heure nous avions une sœur qui parlait d’éprouver en même temps la souffrance et la Joie, mais là, la colère aussi deviendra de la Joie. Ça sera si vous voulez par exemple l’enfant qui pique une colère, vous savez, vous connaissez tous ça, l’enfant qui se met en colère, qui pleure et qui rit en même temps. Il est en colère et pourtant il rit.

C’est exactement comme ça pour le collectif et pour les frères et les sœurs, individuellement.

Il ne faut pas oublier que l’Intelligence de la Lumière, les rayonnements électromagnétiques, les rayonnements cosmiques, affectent l’architecture même de votre cerveau, et l’architecture même de votre corps subtil qui est encore présent, mais aussi du corps d’Éternité, du corps sans couture, du corps Immortel qui est présent partout, pour chacun de nous.

Donc une forme de choc, bien sûr, mais aussi, quelles que soient les colères, quels que soient les bouleversements, une grande forme de prise de conscience, d’ouverture, mais aussi pour certains d’entre vous, pour ceux qui ont traversé ce dont nous avions parlé dans la première partie à travers des souffrances, nous avions expliqué pourquoi, une forme là aussi de résolution.

Et ça correspond aussi à la propagation de la Bonne Nouvelle, à l’établissement d’Agapè résonance et résonance réseau, comme je l’ai stipulé, c’est-à-dire sans intention, sans posture, sans temps, c’est-à-dire comme je l’ai dit, uniquement avec l’idée, en y pensant, ça se fera, Là est le vrai miracle, à condition d’y penser.

Mais tout sera fait par les circonstances de la Terre et du ciel pour vous y faire penser. De toute façon, vous ne pourrez pas penser à autre chose, comme ça, c’est réglé.

Autre chose.

Sœur : Moi je voudrais parler de quelque chose, qui m’est arrivée il y a une douzaine d’années, mais que peut-être d’autres frères et sœurs ont vécu aussi. Un soir j’étais chez moi, il faisait nuit, et je me suis sentie d’un coup disparaître, me dissoudre, avec le vécu qu’il n’y avait plus rien, je n’étais plus rien, et plus rien autour de moi, et j’ai eu très, très peur, et donc je suis sortie marcher dans le jardin, j’ai réussi à sortir dans le jardin, parce que je me demandais ce qui se passait.

Tout à fait, c’est l’antichambre du paradis blanc. Vous l’avez vécu pour certains déjà aussi il y a quelques années, toi il y a douze ans, mais il va vous arriver de plus en plus souvent, d’un seul coup, d’un seul, quelles que soient les circonstances, et ce n’est pas une maladie, ce ne sont pas des troubles de mémoire, ce n’est pas l’Alzheimer, ça survient aussi chez des très jeunes, d’un seul coup, vous ne savez plus qui vous êtes, vous ne savez plus comment vous vous appelez, vous ne savez plus où vous êtes.

Ça peut vous arriver au volant, ce sont des processus de disparition qui ont déjà eu lieu il y a quelques années, on en avait parlé, mais là qui vont prendre une intensité telle que vous découvrirez que derrière cet épisode qui pouvait être angoissant, que aujourd’hui, ça ne sera plus angoissant parce qu’il restera, dès que vous disparaissez, que ce soit en conduisant, en ne sachant plus comment vous vous appelez, ça peut durer quelques secondes, quelques heures, quelques jours, vous serez encore plus en Joie, et non plus dans l’interrogation.

Ça fait partie effectivement de novembre noir. Donc oui, c’est appelé, et vous avez déjà de nombreux frères et sœurs qui le vivent à différentes et à de multiples occasions dans cette période, sans le chercher. C’est-à-dire que c’est indépendant des méditations, des prières, du sommeil, même si toi tout à l’heure tu en as parlé, durant ton rêve que tu as fait, que tu nous as décrit, mais ça va vous tomber dessus dans des circonstances des plus ordinaires qui soient.

J’ai parlé de la conduite, ça peut être aussi en prenant votre douche, d’un coup, d’un seul, vous perdez le fil, mais sans angoisse cette fois-ci, parce que ça laissera place, comme je viens de le dire, à un sentiment de paix et de joie. Et vous allez même pour des frères et sœurs qui n’ont jamais rien vécu jusqu’à aujourd’hui, passé l’élément de surprise, ils découvriront eux aussi cette espèce de Joie nouvelle. Ils sentiront ce Feu du Cœur, ils sentiront la respiration du cœur, et ils sauront à ce moment-là que, grâce à cet évènement de disparition qui surviendra et qui survient à l’emporte pièces, que vous êtes en Joie.

C’est tout à fait vrai, et ça va survenir de tous les côtés. Vous aurez des membres de votre famille, vos enfants, vos parents autour de vous qui vous décriront cela, qui vous montreront à travers des prises de vues, des photos, des récits qu’ils vous feront, que des choses apparaissent qui n’avaient jamais existées avant, aussi.

Mais cet élément de disparition du sens même, de l’idée même d’être une personne, va concourir justement à la fin, comme disait Abba, du mythe d’individualité, et va vous faire comprendre et vivre que, réellement et concrètement, pour ceux qui font déjà Agapè c’est une évidence, mais pour tous ceux qui ne se doutent de rien, vont comprendre, en le vivant, que leur pire ennemi est aussi en eux, et que leur fils, leur mari, leur femme, que Dieu comme vous le nommez peut-être encore, la Source, sont vous et sont en vous, et nulle part ailleurs.

Toute la création est en vous. Les archanges vous l’ont seriné pendant des années, en vous disant, et comme nous, nous vous l’avons dit, nous sommes en vous, pas ailleurs qu’en vous, et il n’y a que vous. Et en chaque autre, il n’y a que lui, et c’est la même présence. Ça va bien au-delà de la fraternité, c’est la conscientisation de l’enchevêtrement, l’intrication inextinguible et permanente.

A l’époque, rappelez-vous, je disais, et ça a été dit avant moi, que quand l’aile d’un papillon se brisait, c’était tout l’univers qui tremblait. Vous allez voir l’unicité et vivre l’unicité de la Vie.

Bien sûr, ceux qui sont encore arcboutés sur des positions rétrogrades par des croyances surtout, par l’adhésion à des égrégores nommés religieux, vont être déstabilisés et effectivement très en colère, mais c’est l’éclairage de la Lumière, toujours. Et ça aboutira toujours à la même conclusion, quel que soit ce qui est à passer, comme au niveau de certaines maladies dont nous avions parlé dans certains témoignages, et pour certains frères ou certaines sœurs.

Mais là, à un échelon bien plus vaste, et bien plus collectif, qui fera que l’ensemble de l’humanité, pas seulement vous, en tant qu’individu, mais ce que vous nommez les médias, les télés, les réseaux sociaux, tous vos moyens de communication, vont se réveiller un jour, progressivement durant ce mois de novembre, avec cette interrogation et ce point d’interrogation :

« Mais en définitive, qu’est-ce que la Vie ? »

Ça mettra fin de manière plus ou moins rapide et directe à l’adhésion, pour ceux qui y sont encore, à certaines croyances, à certaines projections, à certaines religions, afin de retrouver la Liberté.

Vous le voyez déjà au niveau de nombreux peuples sur quelques continents, où il y a des révoltes, des révolutions, où même si c’est maladroit si on peut dire, l’être humain ne pourra plus supporter l’asservissement, la prédation, la prise de contrôle sur soi, tout ce qui était, même ce que vous nommiez jusqu’à présent sécurité sociale, les assurances, tout ça, vous apparaîtra comme inutile, voire limitant, voire bloquant, même si vous ne connaissez pas ou si vous ne soupçonnez pas la suite.

Ça vous inscrira, d’une manière ou d’une autre, de plus en plus proche de l’instant présent, et du temps zéro.

Autre chose.

Et ça ne sera pas à travers un évènement stéréotypé. Bien sûr, j’ai parlé d’évènements cosmiques planétaires, mais aussi individuels. Et vous constaterez une forme de synchronicité, de synchronisme entre ce que vous vivrez à l’intérieur de ce corps, dans votre conscience personnelle si je peux dire, ordinaire, mais aussi dans le cosmos et sur la Terre.

Vous avez été nombreux, depuis déjà quelques années, et surtout depuis un an, à faire la relation entre la résonance Schumann, la fréquence de résonance primordiale de la Terre, et vos vécus, selon les modifications je dirais de cette résonance en fréquences, avec votre cerveau qui y est relié.

Ça sera la même chose par rapport aux évènements dont j’ai parlé au niveau cosmos, au niveau de la Lune, au niveau de l’emplacement des planètes, du Soleil même et de la Lune elle-même.

Vous ne pourrez plus l’ignorer, même si vous ne voulez pas vous y intéresser, parce qu’il y aura cette synchronicité totale entre le macrocosme et le microcosme, entre l’extérieur et l’intérieur. Ceci pour amener à cette fameuse prise de conscience collective, comme je disais, que vous ne pourrez plus supporter l’asservissement, vous ne pourrez plus supporter ce qui a été appelé par exemple, dans d’innombrables, dans tous les pays modernes et même anciens, la justice.

La justice n’a aucune morale, elle est immorale. Tout ça vous le verrez, vous le vivrez, et vous ne pourrez pas vous y soustraire, mais derrière, rappelez-vous, en même temps, que derrière la colère, il y a la Joie. Et cette Joie nouvelle, pour beaucoup d’entre vous qui ne la vivez pas, de partout dans le monde, va être quelque part, là aussi, le fait de se souvenir que vous êtes avant tout ce cœur, cette humanité, que vous êtes réellement et concrètement, que nous sommes tous les uns dans les autres, réellement et concrètement.

Personne ne pourra y échapper, de quelque bord qu’il soit, de quelque continent qu’il soit, et de quelque pays qu’il soit. Ça ne veut pas dire que ça va concerner bien sûr toute l’humanité, mais je dirais une grande part de l’humanité. Il y aura, l’image qui me vient en quelque sorte, c’est comme si d’un seul coup un point d’interrogation apparaissait. Personne ne pourra éviter ce point d’interrogation et le sens profond, c’est-à-dire :

« Qu’est-ce que la Vie, qu’est-ce que ma vie, quelles sont les priorités » … qui ne sont pas de répondre à la société, à l’organisation sociétale, mais de répondre à un besoin impérieux, vital si je peux dire, de vous redécouvrir vous-mêmes, au-delà de toute apparence, de toute croyance ou de toute vie, quelle que soit votre vie.

Oui, j’ai appelé ça novembre noir, mais c’est aussi le mois du point d’interrogation. Alors ce point d’interrogation est peut-être une stupéfaction, une stupeur, une colère, un déni ça va être de plus en plus difficile, mais en tous cas, ça soulèvera, à l’échelon collectif et individuel, une prise de sens, je n’ai pas dit une prise de conscience, mais une interrogation profonde sur qui vous êtes.

C’est bien plus que la réalisation complète du serment et de la promesse, mais c’est la Bonne Nouvelle, sans savoir d’où ça vient, sans raison, comme je l’ai dit, à des moments donnés vous disparaîtrez, même de votre identité, même de toute conscience, et vous constaterez, au retour, et quelle que soit la stupeur, il y a une grande Joie qui est là, un grand Silence et une grande Évidence, et le Feu du Cœur. Et ça c’est très important.

Ça touchera des personnages, qui jusqu’à présent étaient, je dirais, aux commandes, que ce soit dans les domaines politiques, financiers, et qui exerçaient même une forme de prédation, quelle qu’elle soit, parce que plus personne ne pourra supporter la prédation. Ça deviendra quelque part épidermique, vous ne supporterez plus, comme c’est le cas déjà, le mensonge, que les choses soient camouflées, que les choses soient étouffées.

Vous exigerez la vérité et elle se révèlera, à tous les niveaux. Je parle ici de l’histoire de la Terre, je ne parle pas des origines stellaires, des lignées stellaires, des autres dimensions. Je vous parle d’ici-même, sur la scène de théâtre, sur la scène du rêve.

Il y aura aussi un plus grand sens de la responsabilité, non pas la responsabilité par rapport aux évènements, mais responsabilité par rapport à la vie, par rapport à ce qu’est la vie. C’est-à-dire que collectivement, une part non négligeable de l’humanité découvrira qu’ils ne sont pas leur vie, mais La Vie, comme vous ici l’avez vécu pour beaucoup d’entre vous qui écoutez ou qui êtes présents.

Et ça c’est une grande nouveauté si on peut dire. C’est pour ça que dans la première partie, j’ai encore une fois moi aussi insisté sur ce principe de l’acceptation, de l’accueil et de la traversée, la Joie sera concomitante, elle sera là tout de suite. Le point d’interrogation sera remplacé par un grand « Wouah ! », ça veut dire « Wouah ! », quelque chose de grand dans vos vies, dans vos relations, dans la famille même, avec les enfants, avec les parents, avec le mari, avec les amis, une espèce de franchise, de sincérité nouvelle, sera, non pas obligatoire, mais spontanée.

Vous ne pourrez plus, pour beaucoup, vous mentir à vous-mêmes, ni mentir à quiconque. C’est ça la clarté, la lucidité. Vous serez aussi, pour certains, décontenancés, de vous apercevoir que la solution n’est jamais dans ce que vous projetez dans votre mental, dans la raison ou dans l’explication, mais de plus en plus, justement, dans ce lâcher prise et cette acceptation, c’est-à-dire vous rapprochant du temps zéro, de l’instant présent, même si vous n’avez pas de mots pour ceux qui ne vivent rien encore, à poser dessus.

Mais ça deviendra là aussi évident, même s’il n’y a pas de réponse, l’évidence du vécu, l’évidence de l’instant, et c’est ça qui accompagne novembre noir.

Autre chose.

Frère : Je suis né au mois de novembre, et à la fin du mois de novembre, je vais entreprendre une exposition, justement dans la recherche du sens. Que serait l’impact de cette décision sur ce que je veux entreprendre ultérieurement et ce que je ne connais pas encore.

Ça va te donner le sens, tout simplement, et que ce sens, tu comprendras qu’il ne naît pas d’une interrogation ou d’une projection, mais d’une compréhension par le vécu lui-même de ce que tu viens de dire. C’est en le vivant que tu le comprendras. Donc il ne sert à rien de t’interroger maintenant, ni d’anticiper la réponse, parce qu’il faut attendre de le vivre dans la matière, concrètement, pour que le sens t’apparaisse.

Le sens, ta recherche de sens, disparaîtra, parce que tu seras toi-même le sens de ce que tu cherches. Et cela éclairera d’une façon incroyable. Ce que je perçois dans ton questionnement, c’est que ta vie est une quête perpétuelle de sens, de reliance si je peux dire, de résonance aussi, à travers ce que tu fais, ce que tu es. Et bien, cela t’apparaîtra clairement à l’occasion de ce que tu vas faire, fin novembre, et tu es né, tu l’as dit toi-même en novembre.

C’est déjà écrit, tu l’as déjà écrit, donc c’est aussi la bonne nouvelle pour toi. Il y aura effectivement, pour toi comme pour chacun, comme je l’ai dit, une modification claire de la perception du sens de la vie, du sens de ta vie, et du sens de ce qu’est la Vie, ce qu’est la Lumière, ce qu’est la Création, et ce qu’est la dé-création, puisque la création n’a jamais existé, elle n’a fait que passer.

Donc c’est aussi la redécouverte indépendamment de la bonne nouvelle, quelque part, du fait que vous êtes tous éternels, antérieurement à la création, antérieurement à la Lumière et antérieurement à toute forme. C’est ton itinéraire personnel qui se calque et qui se calquera pour chacun comme je l’ai dit, avec l’itinéraire collectif, c’est-à-dire le déplacement de la Terre autour du Soleil, par exemple.

Et donc, ce qui va se passer dans le cosmos, ce qui va se passer sur la Terre, dans la société dans sa totalité, à travers cette conscience collective, avec ce fameux point d’interrogation qui va déboucher chez toi comme chez beaucoup d’autres, par la fin de recherche du sens, et par un grand éclat de rire, parce que tu vas comprendre que c’est toi-même, tout simplement en le vivant.

Il ne sert à rien de l’éclairer maintenant, tu l’as dit toi-même c’est acté, ton anniversaire bien sûr parce que ça tombe à ce moment-là, et ce que tu entreprends comme périple dont tu viens de parler.

Alors bien sûr, ça peut donner, comment dire, par rapport à ce que je dis, mais aussi par rapport à ce que vous vivez peut-être déjà, une certaine forme, non pas d’appréhension, mais un peu de trac, un peu comme l’artiste qui va rentrer pour la première fois sur scène, et qui a des sueurs, des palpitations, le trac ce qu’on appelle. Mais ce trac sera accompagné, comme je l’ai dit, d’une grande Joie, celle de vous redécouvrir, en tant que vivant, et non pas seulement en tant que votre vie.

C’est cela qui se produira pour toi et qui se produira, comme je l’ai dit, peut-être pas pour toute l’humanité, mais de partout quand même, c’est-à-dire que nul ne pourra l’ignorer, même s’il prétend s’y soustraire, il n’y aura plus de déni possible, il peut y avoir une négociation. Mais vous comprendrez plus tard ou durant ce mois, que finalement ça débouche là aussi sur la quatrième phase du choc de l’Humanité qui, je vous le rappelle, était déjà nommée par Shri Aurobindo, l’acceptation.

Car qui peut refuser le don de l’Amour ? Qui peut refuser le don de la Grâce ? Qui peut refuser de se souvenir de ce qui il est, qui met fin à toute interrogation, qui pacifie, qui met en Joie et qui fluidifie, surtout quand il y a cette espèce de synchronisme dont je parlais, entre le cosmos, le macrocosme et le microcosme, entre l’extérieur et l’intérieur.

Vous vous découvrirez reliés, vous vous découvrirez effectivement les uns dans les autres, mais vous vous découvrirez comme un être de reliance et de résonance qui a toujours été là, et que simplement les circonstances de la vie, qu’on appelle la scène de théâtre, le rêve de création, mais aussi le simulacre, sera remplacé par le sacré, pour beaucoup d’entre vous.

Vous aurez donc une clarté intérieure, si on peut dire, une nouvelle perception, une nouvelle compréhension, mais vous saisirez qu’elle n’est absolument pas intellectuelle, et qu’elle ne dépend pas d’un choix, d’une raison quelconque, mais ça sera une évidence.

Ce qui vous semblait l’instant d’avant comme impossible, deviendra la seule vérité. Donc c’est plutôt réjouissant, n’est-ce pas.

Autre chose.

Alors il y en a chez qui ça tournicote hein ! C’est la pochette surprise.

C’est plus effectivement, j’ai parlé de choc mais c’est plus, pas une stupeur, mais une surprise, oui, dans tous les sens du terme, quelque chose qui fait irruption dans le champ-même de la conscience, dans le champ-même de la vie, avec pour certains peut- être, un sentiment d’urgence certainement, face à certaines situations ou à certains vécus, mais comme la Joie sera là, elle vous mettra dans la douceur, dans la patience, et dans l’acceptation, dans les suites, pas durant le mois de novembre, mais dans les suites immédiates.

Vous comprendrez, vous conscientiserez si je peux dire, l’inutilité de la souffrance, l’inutilité de l’épreuve, l’inutilité totale de l’asservissement, que ce soit par un mari, une femme, par un religieux ou par quoi que ce soit. Une soif de liberté nouvelle pour ceux qui n’arrivent pas encore.

Autre chose.

Sœur : Tout le monde dort, je crois.

Comment ?

Sœur : Tout le monde dort.

(Réactions dans la salle)

Sœur : Ah j’ai dit ça pour que ça chauffe.

Ah ça chauffe beaucoup, oui, vous constatez.

Sœur : Il y a quelque chose qui me surprend…

Tant mieux.

Sœur : … En ce moment, c’est la façon dont nos vies s’emboîtent les unes aux autres.

C’est les prémices des …

Sœur : Des choses toutes bêtes, par exemple j’oublie régulièrement des choses et puis je ne voie pas, mais à côté, il y aura quelqu’un qui le verra, et qui me le dira ou qui le manifestera.

Ça s’appelle le service aux autres, ou le service des autres, et qui se fait tout seul, même sans le savoir. C’est aussi les prémices de ce que j’ai dit, quand vous allez découvrir que, pour ceux qui ne le vivent pas encore, que vous êtes complètement les uns dans les autres, et que l’ensemble de la création est dans votre cœur, et nulle part ailleurs.

Ça fait partie du même processus bien sûr.

Sœur : Oui ça ressemble un petit peu à une partition de musique où on est là pour, je ne sais pas, comme une note de musique.

Tout à fait, c’est l’établissement du réseau Agapè et de la résonance Agapè, pas seulement entre certains, mais ce que j’ai appelé aussi la bonne nouvelle qui est accessible à tout le monde, quel que soit le positionnement de départ. C’est ça aussi cet élément de surprise, voire effectivement de stupeur ou de stupéfaction dans certains cas.

Mais c’est spontanément résolutoire par la Joie. Beaucoup d’ailleurs, parmi vous, qui ne connaissent rien de tout ça, vous avez certainement entendu autour de vous des frères et des sœurs, qui d’un coup, sans savoir pourquoi, ressentent cette évidence de la Joie. Pourtant leur vie n’est pas nécessairement joyeuse, mais la Joie est là quand même.

Sœur : C’est comme une Joie silencieuse.

C’est aussi le grand Silence, bien sûr. Le besoin d’intériorité, le silence permet aussi l’acceptation, la traversée, parce que dans le Silence, vous savez que vous êtes complets. Dans le Silence, il n’y a pas de ré-action, il y a accueil. Rappelez-vous que vous avez la nature pour vous ressourcer, dans les moments peut-être un peu fatigants, de cette surprise ou des évènements quels qu’ils soient.

Quelque part de plus en plus généralement, même si ce n’est pas totalement collectif, vous serez nombreux, dès le début du mois de novembre et durant tout le mois, à ressentir ce Silence intérieur, cette Joie nue, à avoir besoin de rentrer si je peux dire chez vous, au-dedans de vous, et à délaisser, là aussi, les jeux de pouvoir, les jeux de séduction, les jeux de conviction, parce que vous le saisirez en le vivant à ce moment-là, que le point d’interrogation trouve sa solution uniquement dans votre cœur, et nulle part ailleurs, et surtout pas dans les circonstances habituelles de la vie.

Autre chose.

Frère : Il y a une étoile filante qui est passée tout à l’heure. Vous avez une explication ?

C’est une étoile qui file. Je vous rappelle que, ce que vous nommez Michaël, l’archange Michaël l’avait parfaitement expliqué, que sa représentation c’était les météorites, tout ce qui passe dans le ciel, mais aussi les étoiles filantes, les poussières d’étoiles, les météorites, c’est la manifestation, la concrètion, si on peut dire, de l’archange Michaël, en tous cas visible pour vous dans cette dimension.

Vous savez très bien qu’il y a de plus en plus de météorites qui sont découvertes, qui même s’écrasent sur Terre, même si pour l’instant elles sont petites, néanmoins elles sont retrouvées, il y en a tous les jours. L’étoile filante, dans toutes les traditions, dans toutes les histoires, c’est quelque chose qui est annoncée bien sûr. On vous dit que c’est un bon présage quand vous la voyez, qu’il faut faire un vœu, et ça c’est présent partout.

Oui, parce que une étoile filante, cette lumière qui passe très vite, quelle qu’en soit la réalité physique, concrète, est avant tout l’irruption de quelque chose de surprenant, là aussi, même si on connaît tous ça.

Beaucoup de choses, je répète, vont être visibles dans le ciel. Et encore une fois, je ne parle pas de Nibiru, même si sa visibilité peut survenir n’importe quand, mais là je ne parle pas de Nibiru. Je parle des conséquences du temps zéro, de la bonne nouvelle.

Autre chose.

Sœur: Depuis quelques temps…

Et le micro aussi peut-être.

Sœur : Depuis quelques temps, j’ai en moi une joie d’enfant, une joie énorme et je suis un enfant émerveillé. Et pourtant j’ai passé l’âge, mais on dit que quand on vieillit des fois on redevient un enfant, et je ne sais même pas comment vous le dire, parce que je le vis, mais je ne le mentalise pas, mais j’ai toujours envie de rire, toujours envie de chanter, voilà, et rien n’a d’importance pour moi, à part quand mon mari me fait marcher, marcher, et que je ne comprends pas. Voilà, bon. Et alors là, je pousse une colère.

(Rires)

Mais je crois qu’il va quand même être inquiet si tu mets le pouce dans la bouche et qu’il te faut des couches culottes.

(Rires)

Mais c’est la voie de l’innocence et de l’enfance, oui, retrouver l’enfant intérieur, que vous l’appeliez comme ça ou autrement, ça fait partie aussi du rembobinage du film. Nisargadatta avait dit : Rappelez-vous ce que vous étiez, et faites remonter, non pas des blessures et des mémoires, mais l’état dans lequel vous étiez quand vous étiez petit enfant. C’est exactement cela.

Sœur: Et mais c’est tellement fort, que par moments je me dis, mais je vais éclater.

C’est exactement le cas.

(Rires)

Sœur : Et l’année dernière je faisais du ski, et je descendais une piste alors à toute vitesse, parce que j’avais cette joie d’enfant, j’étais un enfant qui descendait et qui prenait du …, une joie énorme, et je me disais, mais à mon âge je risque de me casser tous les os, moi, si je plonge, bon, mais ça s’est bien placé.

Peu importe, vous serez tellement dans l’authenticité de ce que vous vivez comme j’ai dit, que le regard de l’autre n’a plus aucune importance. Parce qu’au-delà de la surprise aussi pour celui qui voit cela, c’est-à-dire ce personnage âgé qui se comporte comme un bébé ou un enfant, au-delà de la surprise, n’oublie pas qu’il y a une présence qui est là, qu’il y a le Feu Cœur, qu’il y a Agapè qui est là et qui émane de toi, même si ça dérange l’autre.

Donc ne te soucie pas du regard de l’autre. Sois vrai et authentique avec toi-même avant tout. Ne triche pas, et d’ailleurs tu ne peux plus tricher. Ça aussi, je l’ai dit, vous ne pourrez plus vous mentir, à vous-mêmes ou à quiconque. C’est fini, les arrangements, les sous-entendus, les choses cachées. Vous ne pourrez plus porter le masque de votre rôle, de votre fonction.

Vous ne pourrez plus être identifiés à une tenue vestimentaire ou à une fonction dans la société, dans votre vie, dans votre famille et dans votre profession. Vous serez identifiés à vous-mêmes et non plus au masque de la personne. Et ça sera quelque chose qui est déjà pour certains d’entre vous impérieux. Vous ne pouvez pas transiger avec la Vérité.

Or vous êtes la Vérité. Il n’y a pas de considération – qu’est-ce qu’on va penser de moi -, ça va disparaître ça parce que tu seras dans cette fameuse spontanéité, dans cette fameuse évidence de ce que tu es et de ce que tu vis. C’est la voie de l’enfance, la voie de l’innocence, il n’y a pas d’autre voie, ça a été expliqué durant des années, en long, en large et en travers, à travers les principes de l’humilité, de la simplicité, de l’éthique, de l’intégrité, ce sont les quatre piliers du cœur, mais vécus maintenant, même au sein de l’éphémère, dans quasiment toutes les circonstances de vos vies.

Vous ne pourrez plus transiger ou tricher ou négocier avec ça. Ça sera effectivement quelque chose de tellement impérieux en vous, que vous ne pourrez que l’accepter, vous ne pourrez pas le réfréner, et vous deviendrez de plus en plus spontanés pour nombre d’entre vous. Et comme disait notre sœur tout à l’heure, tu oublies quelque chose mais un autre frère, dans le sens du service, même s’il ne sait pas qu’il est dans le service, va te le faire après.

Et n’oubliez pas comme je l’ai dit aussi de penser à Agapè. Mettez Agapè devant en regardant un enfant, en parlant à votre femme, à votre enfant, à votre directeur des impôts, et vous verrez que tout sera solutionné. Il n’y a aucune solution, pardon, il n’y a aucune possibilité d’échapper à la solution par Agapè, même dans les causes que vous pourriez nommer désespérées.

C’est l’action de l’Intelligence de la Lumière, ce sont les guérisons qui apparaissent aussi, simplement en pensant, comme je l’ai expliqué dans la pratique d’Agapè et comme Abba avait dit la pratique sans pratique, ça se fera tout seul, dès l’instant où vous y pensez, sans intention et sans volonté, comme une idée qui vous traverse. L’autre sera touché instantanément par votre regard, par votre présence, mais aussi simplement par votre pensée, sans aucune intention, simplement.

Ça veut dire que penser à l’autre, c’est déjà entrer en résonance avec lui Agapè, et c’est déjà conscientiser qu’il est en vous. C’est ce que j’expliquais. Mais ça va se produire, pas seulement au niveau des individus, mais je l’ai dit, au niveau des pays, au niveau de l’intrication totale de la vie, même dans des cas où les intérêts, économiques, politiques, religieux ou autres, sont complètement opposés.

Parce que si je peux dire, on est tous dans le même bateau, c’est une expression, on est tous dans la même galère, certains diraient, ça dépend du point de vue là aussi. Si vous regardez d’un côté, c’est un merveilleux vaisseau de Lumière, de l’autre côté, c’est une galère. A vous de choisir. Mais vous n’avez pas le choix, je vous rassure. C’est très rassurant de ne pas avoir le choix, même si ça peut sembler impossible pour la conscience ordinaire.

Ce sont les discussions que nous avions eues pendant des années, la différence entre le libre arbitre qui appartient à la dualité, le bien et le mal, et la véritable Liberté qui voit le bien et le mal, mais qui transcende tout cela par un positionnement d’Amour simplement.

Vous constaterez que l’Amour Agapè, va agir de lui-même, sans vous, sur toutes les circonstances de vos vies. C’est comme tout à l’heure notre sœur qui oublie quelque chose, et un autre frère ou une autre sœur lui rappelle. C’est ça ce que nous avions nommé à l’époque la fluidité de l’Unité, la synchronicité ou l’ultra synchronicité. Et vous verrez que vous ne dépendez plus du temps.

Toute la société veut vous faire dépendre du temps. Toute la vie au sein de ce monde veut vous faire dépendre du temps. Mais vous ne serez plus soumis au temps, ni le temps qui passe, puisque vous redeviendrez comme des enfants, dans cette innocence et cette spontanéité, ni autre chose. Vous ne serez plus soumis au temps. Vous ne supporterez plus d’être soumis, je dirais pas seulement la prédation, mais à tout ce qui fait la vie en société.

Vous ne deviendrez pas pour autant un paria ou quelqu’un qui va s’exclure, vous ne deviendrez pas pour autant un marginal ou un ermite, mais tout cela sera vu lucidement.

Encore une fois, ça ne concerne pas la totalité de l’Humanité, mais je dirais une grande partie d’entre nous. C’est l’évidence d’Agapè, l’évidence de l’Amour, en dépit de toutes les circonstances contraires, qui prévaudra. Et je dirais même, non seulement en dépit de, mais grâce à ces évènements contraires, que j’ai nommés la colère de l’enfant qui rit en même temps, qui pleure et qui rit.

Vous ne pourrez que le constater. Ça entraînera une forme de relâchement, mais aussi pour d’autres parmi vous qui ne le vivent pas encore, d’acceptation.

Rappelez-vous ce qui a été dit il y a déjà de nombreuses années et répété à de nombreuses reprises, il y a seulement deux lois dans l’univers, action-réaction et action de grâce, où tout est mystique, où tout est Joie, où tout est Lumière. C’est ça, pour beaucoup, que vous allez découvrir, indépendamment de tout ce qui a pu exister avant, comme vibrations, comme perceptions, comme ouverture des chakras, des portes, des étoiles, des vécus vibratoires ou d’expansion de conscience.

C’est-à-dire qu’à ce moment-là, vous ne pouvez, comme ça a été expliqué, là aussi, durant ces dernières années, vous ne pouvez que vous reconnaître. Vous ne pouvez que vous retrouver.

Tout ce que vous voudrez maintenir par habitude, par certitude, par sécurité, par le fait de tenir à, disparaîtra. Cela vous libérera, quelle que soit la stupeur ou la stupéfaction ou la surprise du moment.

Aussi, vous constaterez que vous ne pourrez plus juger quelque situation que ce soit, vous ne pourrez plus vous juger, vous ne pourrez plus juger quiconque, vous ne pourrez que l’accueillir et l’aimer, même si aujourd’hui ça vous semble encore peut-être tellement éloigné ou tellement farfelu pour ceux qui ne le vivent pas.

Vous ne pouvez pas éviter la Vérité. Vous avez rendez-vous avec la Vérité, Vous l’avez écrit, nous l’avons écrit, nous l’avons programmé, c’est ça la bonne nouvelle. Pas seulement le travail que nous avons fait ensemble, je parle pour les anciens, depuis de nombreuses années, pas seulement votre discipline intérieure, vos questionnements intérieurs, mais à un échelon beaucoup plus vaste, global, même si ce n’est pas toute l’humanité.

Il y aura des prises de conscience directes foudroyantes.

Frère : Est-ce que vous pouvez nous dire quelle proportion ? Vous nous avez dit que ça nous concernait, nous et une partie de l’humanité. Et l’autre partie ?

Oui bien sûr. Racine de Pi multiplié par x divisé par deux.

(Éclats de rires)

Sœur : Notre frère demande ça fait combien ?

Je te laisse calculer.

Frère : Ça ne concerne pas les portails organiques, en fait.

Ah non, pas du tout.

Frère : Voilà. Et ils sont nombreux.

Oui, ils sont nombreux bien sûr.

Frère : Mais on n’en rencontre pas beaucoup, moi je n’en vois pas.

Ah vous ne risquez plus d’en trouver ici dans les rencontres !

Sœur : Il y en a eu ?

Il y en a eu bien sûr, il y a très longtemps, il y avait systématiquement un portail organique. Mais maintenant c’est fini. Ils ne peuvent plus supporter cet échauffement que vous vivez ici. L’Amour est partout dans cette pièce. Ça chauffe n’est-ce pas, la tête, le cœur, le dos. Pour l’instant il n’y a pas de fumée, donc ça va.

Sœur : Le dos, comme s’il souffrait.

Sœur : Le dos, c’est comme s’il souffrait.

Sœur : Non, qu’il s’ouvrait.

Oui, ce sont les ailes qui se déploient. Les ailes, ce n’est pas une vue de l’esprit, c’est dans votre corps d’Éternité.

On a souvent dit que l’on était un ange avant d’être un homme. Les anges c’est vous, aussi.

Sœur : Notre frère demande : qu’est-ce c’est le corps d’Éternité ?

Frère : Non, code d’éternité.

Sœur : Le Corps d’Éternité.

Frère : Ah le corps !

Le corps d’Éternité, c’est le corps de Lumière, le corps sans couture, le corps immortel, c’est le corps de Lumière si tu préfères. Il y a des corps subtils, le corps physique, le corps éthérique qui est le double, le corps énergétique, le corps astral ou émotionnel, le corps mental, le corps causal, et après cela, il y a ce qui est dans la tradition, qui a été nommé le corps bouddhique et le corps atmique ou le corps divin si tu préfères, qui a été appelé dans la bible, je crois, le corps sans couture.

C’est un corps, c’est une forme. Un archange est dans son corps de Lumière, il n’a pas de corps physique ni de corps éthérique, ni de corps astral, ni de corps mental, ni même de corps causal, et pourtant vous pouvez les voir. Certains les ont vus, réellement. C’est ce corps où la Lumière n’est pas à l’extérieur comme certaines représentations iconographiques, où on représente par exemple l’auréole des saints, ça c’est une lumière projetée.

La véritable Lumière est intérieure, c’est ce qu’on appelle un corps de Lumière, c’est ton corps Éternel, qui t’a servi de véhicule pour arriver jusqu’à cette Terre, voilà des temps immémoriaux, et qui était présent dès le départ, qui a été libéré du Soleil durant l’année et après les noces célestes, c’est-à-dire après les années 2009, avec la précipitation de la Lumière véridique qu’on a nommé la Lumière adamantine, et les agni deva dans les enseignements ayurvédiques qui est ce corps sans couture, ce corps sans défaut.

La particularité de ce corps, c’est que la Lumière n’est pas à l’extérieur, il est constitué de Lumière. La Lumière est donc à l’intérieur de la forme, alors que dans les représentations, en tous cas sur ce monde, on perçoit la Lumière comme extérieure.

D’autres choses ?

Frère : La Lumière extérieure que l’on voit, ce n’est pas le rayonnement des corps qui sont à l’intérieur et non pas les corps eux-mêmes que l’on distingue à l’extérieur.

Le rayonnement des corps subtils, qui sont comme tu le dis, à l’intérieur, dans ce monde peuvent rayonner à l’extérieur. C’est ce qu’on appelle par exemple l’auréole des saints. Mais cette lumière là est une lumière projetée. Et en plus, altérée du fait de l’enfermement.

Un corps de Lumière, c’est un corps de Lumière, la Lumière constitue ce corps. Donc, le rayonnement des corps subtils n’a rien à voir avec le corps de Lumière. Dans un cas, c’est une lumière réfléchie, rayonnée, qui va de l’intérieur vers l’extérieur. Alors qu’on peut dire que dans le corps de Lumière ou le corps d’Éternité, la lumière est contenue dans la forme. Ça n’a rien à voir avec les photons, ça n’a rien à voir avec la vitesse de la lumière, ça n’a rien à voir avec ce que nous nommons, en incarnation, la lumière, que ce soit d’une ampoule électrique ou du Soleil.

La lumière, et ça nous l’avions expliqué longuement, c’est les rayonnements cosmiques, c’est le rayonnement gamma, et vous savez très bien que le rayonnement gamma, ça s’accommode très mal avec le corps carboné, c’est-à-dire avec le corps de souffrance.

Le corps de Lumière est un corps de rayonnement gamma. Mais ce rayonnement n’est pas tourné vers l’extérieur, il concerne la forme, il est éternel, la Source et le Cœur, bien sûr.

Vous avez certains films, je crois, où vous avez cette représentation de ce qui est nommé les Elohims. Ce sont des êtres de pure Lumière, mais vous, vous êtes antérieurs à la pure Lumière, vous êtes antérieurs à la manifestation. C’est ça la stupeur, la surprise et la bonne nouvelle.

Autre chose.

Frère : Comment peut-on se rendre compte de ces différents corps ?

Uniquement par la Joie. Les différents corps, on s’en fout maintenant, même le corps éthérique, le corps énergétique, vous êtes nombreux ici à être passés par la perception de l’énergie, des chakras, des méridiens, des nadis, et vous n’avez plus besoin, vous savez que ce qui est nommé l’astral planétaire a été dissous, vos corps subtils bien sûr sont encore là.

Mais le corps de Lumière, qui est re-synthétisé après avoir été libéré du Soleil où il était enfermé, adoube tout corps physique. C’est pour ça que pendant de nombreuses années, vous avez été nombreux à sentir les ailes poussées dans le dos, à sentir par exemple un bec réel si vous avez une lignée stellaire d’origine d’Altaïr, par exemple.

D’autres se sont sentis avec des nageoires de dauphin. C’est la Vérité, c’est votre corps d’Éternité originel, ce fameux corps de Lumière. D’autres se sont retrouvés avec des corps d’Elohim, d’autres de Néphilim, etc… etc…

C’est le corps immortel, tel qu’il est décrit dans les écritures, le corps de Gloire aussi, il est nommé.

Mais vous n’avez pas besoin aujourd’hui, comme je le dis, de prendre conscience de ces corps subtils. Beaucoup d’entre vous ont vécu l’ouverture à cette perception déjà depuis de nombreuses dizaines d’années, parmi certains qui sont ici présents.

Mais toi qui découvres, tu n’as pas besoin de ça. Le seul témoignage rendu par la Présence de ce que tu es, est la Joie, avec éventuellement cette chaleur, cette consumation que vous sentez maintenant, qui peut vous prendre aussi bien au milieu de la poitrine, que dans ce qu’on appelle la couronne de la tête, que dans le dos. C’est tout.

Ça va modifier la perception que tu as de toi-même, ça va modifier et transformer ce qu’on appelle la conscience, et te faire passer de la conscience à la supra-conscience, qui est la phase d’expansion, avec une phase ultérieure qui est le sacrifice, qui correspond au Cœur du Cœur et au temps zéro, à la fameuse Lumière Noire, ou au trou noir si tu préfères.

La seule façon aujourd’hui de le vivre, c’est de te donner. De te donner à qui ou à quoi, à toi-même, à la vie, à ce que tu es que tu ne connais peut-être pas encore. Non pas dans l’identité de ton histoire, de ce corps, de cette forme, de cette vie, c’est ce qu’on dit depuis des années, vous n’êtes pas votre vie, vous êtes la Vie, vous êtes l’espace, puisqu’il n’y a personne.

Il y a d’abord l’Unité, les uns dans les autres, et ensuite, et simultanément maintenant, la découverte que tout ça n’a fait que passer, et que vous, que chacun de nous ne passera jamais, mais pas au travers de cette forme, ni au travers d’aucun monde, à travers d’aucun purgatoire, d’aucun enfer, d’aucun paradis, ça ce sont des projections de l’humain, qui ont été, peut-être à certains moments donnés utiles dans l’histoire, un peu comme des garde-fous si je peux dire, mais qui aujourd’hui ne peuvent plus être validées par votre vécu de la Joie nue, sans objet, sans raison.

Autre chose.

Vous avez le droit aussi d’en avoir marre, si vous avez besoin de vous aérer. Je crois que je vous ai parlé quand même pas mal de temps, nous avons échangé longtemps, et comme vous le constatez, ça chauffe beaucoup.

Ce n’est pas moi qui le fais, c’est vous, parce que vous êtes là, parce que vous écoutez, parce que vous êtes présents, tout simplement. C’est ça la consumation d’Amour.

La Joie nue, comme je dis, ne se préoccupe plus ni de demain, ni de hier, ni de la perception, ni de la vision, ni de la vibration. Elle est libre de tout ça.

En avez-vous marre peut-être ? On peut aussi se consumer en silence. C’est l’occasion rêvée d’être là, comme vous êtes attentifs, et d’avoir l’idée Agapè. Vous n’avez même pas besoin de prononcer ou de penser à qui que ce soit ici. Ça prend tout l’espace.

Il n’y a rien à faire, il n’y a rien à sentir, il y a juste à accueillir.

Frère : Qu’est-ce que ça veut dire accueillir ?

Ça ne veut rien dire d’autre que ce que ça veut dire dans la définition réelle du mot. Accueillir, c’est se mettre quelque part dans la posture de l’accueil, c’est-à-dire ne rien arrêter, accueillir c’est prendre l’autre dans son cœur, prendre tout ce qui est présent en son cœur. C’est ça accueillir, comme quand tu accueilles un invité, comme quand tu accueilles un enfant ou un parent que tu n’as pas vu depuis longtemps dans ta maison, c’est la même chose.

Tu accueilles ce qui est, même si tu ne sais pas ce qui est, mais c’est là, sans te poser de questions, sans mettre au devant le besoin de comprendre, sans mettre au devant le besoin de sentir, c’est comme ça que tu es disponible pour l’instant présent. C’est tout.

Il n’y a pas besoin de conceptualiser parce que accueillir par ton cerveau, dans ton cerveau, ça a un sens précis, qui active certaines fonctions. A l’époque, nous avions nommé, je vous rappelle, les étoiles, ici et maintenant par exemple de chaque côté de la tête, les étoiles attraction, vision, répulsion, clarté, unité.

Etre disponible, c’est être là sans rien demander, sans rien attendre, sans rien définir, sans rien chercher, sans rien espérer, simplement être là.

Accueillir c’est accueillir. De la même façon que tu accueilles un cadeau ou une présence. Ce n’est pas seulement ouvrir les bras pour serrer le membre de la famille dans ses bras, accueillir, c’est ouvrir son cœur.

D’ailleurs accueillir ouvre le cœur.

Et quand vous accueillez, il y a une unification qui se fait, vous perdez la notion de temps, la notion de distance, il ne reste que cette Présence, où se vit l’Amour, qui ne dépend pas d’un affect, d’un sentiment, que nous nommons Agapè.

Ne cherchez pas même le sens d’Agapè, ne le prononcez pas verbalement maintenant, pensez simplement, sans rien projeter, même si vous ne connaissez pas le sens. Agapè, et c’est tout, et cela est là. Ça remplit tout l’espace, toutes nos présences.

Autre question ou autre chose.

Sœur : Il semble qu’il n’y a plus de question.

Alors il va être peut-être temps de vous laisser vous aérer, pour vous réchauffer ou vous refroidir, au choix.

Quant à moi, je vais vous transmettre toutes mes bénédictions, et je vous laisserai demain avec Bidi pour chauffer encore plus.

Et je vous dis quant à moi, un grand merci, et je vous transmets toutes mes bénédictions, tout mon Amour, et je vous dis, comme d’habitude, A Bientôt.

Participants : Merci, merci, merci.

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Texte partagé par les Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre