Bonsoir chers Êtres. Je suis l’archange Uriel, très heureux de pouvoir vous parler ce soir.

J’aimerais vous dire à quel point c’est un honneur de vous parler, à quel point c’est un honneur de vous aider à progresser dans cette existence et non un devoir, comme certains l’entreprennent parfois, le comprennent parfois aussi.

Je suis venu ce soir, vous dire à quel point nous avons aussi ce rôle de vous aider à trouver des solutions, et à vous rassurer comme l’exprimait Sylah. Nous avons aussi ce rôle.

Sylah est un personnage, comme chacun d’entre nous finalement est un personnage, a sa propre identité, sa propre manière de s’exprimer, sa propre pédagogie comme il l’envisageait. Sylah est un être d’un ordre militaire, c’est un soldat de l’armée de Michaël.

Comprenez que dans aucun des discours que je fais, que nous faisons, vous n’avez à entendre une vérité, un seul angle, un seul axe. Comprenez que chacun d’entre nous a son caractère, sa manière d’envisager ces évènements qui sont présents ; ils sont présents parmi vous ces évènements. Chacun d’entre nous entretient ce qu’il aime, son œuvre, et l’œuvre des anges existe aussi.

Alors j’aimerais vous dire que bien sûr vous êtes là pour grandir, bien sûr vous n’êtes pas des enfants, et bien sûr que nous sommes là pour vous aider, particulièrement dans une période aussi difficile.

Vous aider – je suis d’accord avec Sylah – vous aider n’est pas interrompre un évènement en cours, en diminuer les dégâts certes, mais interrompre un évènement en cours n’est absolument pas dans l’intérêt de l’expérience elle-même. En revanche, nous sommes là pour vous aider à trouver des solutions quand vous n’en voyez plus. C’est particulièrement mon aide.

Nous sommes là aussi pour vous assurer, vous rassurer de notre présence à vos côtés, pour vous dire : « Ne vous inquiétez pas. Ne t’inquiète pas, on est là, on t’aime, on t’aide. »

Rien n’est plus mortel que la vie et rien n’est moins mortel que la vie, vous comprenez cette phrase. Allons-y, dans une sorte de joie !

Et si des évènements te font perdre la joie, alors sache que ce qui te donne une vraie joie est simple, pas complexe, pas décidé par quelqu’un d’autre mais décidé par toi, par ta propre décisionLa joie n’est pas quelque chose qui devrait être provoquée par l’extérieur, c’est quelque chose que tu acceptes de libérerFaire les choses avec joie est un choix.

Tu peux être en joie de te dire : « je m’offre cette expérience même si elle semble déplaisante » vous avez le droit, bien le droit de faire cela. Choisissez la joie.

« Seigneur que ta Joie demeure » est une prière qui consiste à dire : « Je ne laisserai aucun évènement, aucune circonstance, me dériver de la Joie, car je peux modifier l’angle de ce que je vois, de ce que je perçois. »

« Très bien. Cet évènement m’a été rendu obligé, est-ce que cela va m’empêcher de sourire aux autres ? Est-ce que cela va m’empêcher de sourire à la vie ? Est-ce que cela va m’empêcher de sourire à cet enfant ? Dois-je être absolument triste ? Non. Je vais utiliser cet évènement pour même être encore plus joyeux, dans ces autres facettes où je m’autorise à l’être, et je ne laisserai personne m’empêcher d’être joyeux, m’empêcher d’être heureux, aucune circonstance. »

Nous vous voyons comme des êtres en évolution. Je vais employer le terme « enfant » sans vous réduire.

Imaginez qu’un enfant soit dans des circonstances particulières, que vous ne percevez pas de la même manière. Un enfant perd un ballon, par exemple, qui s’envole et il va se mettre à pleurer, considérant que seul ce ballon qui s’en va est l’expérience absolue de son malheur. Qu’allez-vous faire, en tant que parent bienveillant ? D’abord le rassurer, le prendre dans vos bras, lui rappeler que vous l’aimez, lui dire que ce n’est pas grave. Bien sûr quand vous allez lui dire que ce n’est pas grave il va continuer à vous dire que si, c’est grave pour lui. Alors vous l’entendrez, vous serez compatissant et vous lui direz : « Viens là-bas, je vais t’offrir un autre ballon », ou vous lui direz que vous allez lui offrir une glace où quelque chose de cet ordre-là. C’est un peu cela aussi que fait la vie parfois. A un moment où vous vous concentrez sur ce qui ne va pas, vous ne comprenez pas que la vie, les anges, votre guidance, vous disent « ne t’inquiète pas, ce n’est pas très important, ce n’est pas très grave. Ce n’est pas aussi grave que tu as l’air de le prendre, que tu as l’air de nous dire ou que tu as l’air de le vivre. La vie va t’apporter d’autres joies car elle est la vie, elle est bienveillante, elle t’aime, elle se poursuit avec toi, pas contre toi. Le ballon est parti mais le ballon n’est pas ton existence. Alors viens, continue, aie confiance. »

Mon amour, l’amour du parent, l’amour de ceux qui vous aident et vous aiment ici, vous ne le perdrez jamais. Il est immortel, atemporel, intemporel, il sera permanent.

Si vous vous posez sur cet aspect permanent de notre aide, de notre amour, dans aucune circonstance vous ne perdrez votre joie de vivre. Vous comprendrez que la circonstance est temporaire, malheureuse, vous ne pouvez nier qu’elle soit dommage et dommageable même, mais ce n’est pas grave. Elle va se poursuivre cette expérience encore, elle ne va pas s’arrêter là. Elle ne va pas s’arrêter parce qu’à un moment, une circonstance particulière sera venue en modifier la couleur, l’aspect, la sensation.

Chères Âmes, vous êtes aimées. Les solutions existent. Elles sont mises en œuvre par des êtres conscients. Elles sont mises en œuvre par des êtres qui n’ont pas peur, mais n’ayez crainte, même si vous êtes dans la peur, il est des moments où vous serez courageux. Il est des moments où vous serez dans la joie et où vous pourrez aider, continuer à œuvrer, en d’autres temps et d’autres circonstances où d’autres auront peur d’autres choses.

C’est cette fraternité, c’est cette autorisation à être qui vous êtes, à accepter cette énergie, mais à ne pas vous arrêter à un moment d’énergie et continuer à regarder cette énergie, à voir ce qu’il se passe comme une expérience temporaire, illusoire.

Allez-vous donner du pouvoir à ce qui a enlevé votre joie ? Est-ce que ce qui vous a enlevé la joie mérite autant de pouvoir ? Posez-vous cette question.

On ne nie pas l’expérience, mais en raccrochant sa capacité, son énergie et son amour à ce qui mérite cela, on pourrait changer de direction pendant un temps. En grandissant vous vous apercevrez que tout mérite votre amour, mais pour le moment, concentrez-vous sur ce qui le mérite. Ce qui ne le mérite pas, en vérité, ne le mettez pas dans un camp ennemi. Mettez-le dans quelque chose qui vous semble un peu sombre certes, mais ne le mettez pas à l’opposé de qui vous êtes. Ne mettez pas cela comme une expérience à ne pas vivre, alors que vous venez de la vivre.

Ne reniez pas ce qu’il se passe ou ce qu’il s’est passé. Placez-le dans des circonstances où parfois vous avez senti, ou eu l’impression, que vous étiez dissocié de votre réalité divine, de votre réalité de choix. Néanmoins, le choix est accordé à celui qui n’a pas peur, à celui qui est courageux, pas à celui qui a peur.

Ainsi c‘est cela les circonstances de vie, c’est d’aller effectivement d’une peur à une autre. Sylah a raison, la peur est votre ennemi, mais c’est aussi votre principal éducateur. C’est ce qui va vous aider à progresser, à bouger, à avancer, sans vous laisser vous reposer sur le confort d’une existence qui serait joyeuse, aimante en apparence, temporairement.

Souvenez-vous, vous êtes venu travailler ce qui chez vous est éternel, de manières différentes. Chacun d’entre vous est venu le vivre de manière différente. Chacun d’entre vous va collaborer avec ses frères, avec ses sœurs, avec les circonstances, pour améliorer sa capacité à aimer et à être joyeuse ou joyeux.

Elle est joyeuse cette existence. Ce n’est qu’une simulation à laquelle vous accordez votre importance, et c’est compréhensible. Il faut y être pleinement dans cette expérience, pleinement, il ne faut pas faire semblant. Il faut être pleinement dans cette existence, mais il ne faut pas non plus lui accorder la définition entière de qui vous êtes.

Vivre une chose intensément n’est pas se définir entièrement comme cette chose-là. Ce n’est qu’un morceau de vous, un morceau important, vivant, vibrant, qui semble vivre des choses, cela reste temporaire.

Les véritables joies sont des joies partagées. Les véritables bonheurs sont des bonheurs partagés. Le véritable amour c’est un amour partagé. Soyez dans cette compréhension.

Si vous vous concentrez trop sur un seul moment, une seule circonstance, une seule personne, à ce moment-là, votre amour sera réduit à un. Vous pouvez l’augmenter à la multitude, s’il vous plaît, étendre votre idée, étendre votre lumière, ne pas étendre votre lumière qu’avec ceux qui ont fait les mêmes choix que vous, mais étendre votre lumière à tous.

Est-ce que vous pouvez danser avec des gens qui ont fait des choix différents de vous ? Bien sûr, évidemment. C’est cela l’idée.

Vous êtes en train de travailler cette idée de ne plus être des extrémistes de la conscience, décidant qu’untel mérite votre présence et untel ne la mérite pas. C’est ce que l’on essaie de vous faire vivre. Ne soyez pas dans ces extrémistes, ou alors ne venez pas juger et critiquer ceux que vous appelez les extrémistes, car vous en êtes un ou une. Donc ne vous condamnez pas vous-même, ne vous condamnez pas dans ces moments.

Chères Âmes, nous sommes là pour vous aider à trouver des solutions. Chères Âmes, nous sommes là pour vous rappeler à quel point tout n’est qu’amour, joie, beauté.

Les circonstances temporaires méritent une attention dans le moment présent, mais elles ne méritent pas toute votre attention, à moins que vous vous définissiez uniquement comme étant ce moment, ce temps, cet espace, cette personne.

Plus vous élargirez la définition de qui vous êtes, plus vous penserez multitude, plus vous penserez même international si vous pouvez, sur votre planète, plus vous verrez que vous avez des circonstances de vous réjouir.

Ne vous concentrez pas sur ce petit ballon perdu les amis, alors qu’un parc d’attractions géant vous attend sur cette planète.

L’œuvre est grande. La création est parfaite pour vous aider à continuer à avancer, à évoluer. Nous sommes vos grands-frères, vos grandes sœurs, venus de différents plans pour vous aider, vous accompagner, car nous avons déjà connu ce temps et cet espace. Certes vous lui donnez une couleur unique mais tout de même, de manière générale l’expérience d’un enfant qui perd son ballon est souvent la même, alors nous pouvons vous aider.

Quand vous nous appelez, nous vous entourons, vous calmons puis nous dispensons notre enseignement. Nous ne vous montrerons pas un chemin, une voie ou une circonstance particulière. Notre message consistera à vous demander ce qui est vraiment important pour vous. Bien sûr et encore une fois, comme l’enfant de mon exemple au début, vous nous direz : « c’est le ballon que j’ai perdu » ou « c’est ce que j’ai perdu » ou « c’est le choix que j’ai perdu » même. En vérité, ce n’est pas si important que cela. Ce n’est pas si grave que cela. L’unité peut tout. Votre énergie peut dépasser tout, pour peu que vous vous accordiez une grande définition.

Une grande définition ce n’est pas non plus un grand pouvoir. C’est la possibilité de communiquer avec un être puissant qu’est votre Conscience Supérieure, de commencer à rediscuter votre plan, comprendre le fonctionnement de ce monde, car vous êtes dans cette phase de transition qui consiste à vous créer une expérience dans d’autres mondes, dans d’autres circonstances. Cela peut être sur la même planète, cela peut être sur une autre, cela importe peu. Ne vous posez pas cette question qui appartient au mental.

En vérité, vous êtes dans une phase de transition. C’est comme si vous étiez d’une espèce à une autre espèce. Vous êtes en train de devenir des êtres divins. Vous êtes en train de quitter l’eau alors que vous étiez des batraciens. Vous devenez amphibies, vous commencez à respirer cet air divin. Comprenez que quelque chose se prépare de positif.

Ce n’est pas facile quand on a été habitué à l’eau pendant des milliers d’années de rentrer dans l’air, dans ce fluide différent, dans cette énergie différente. Ainsi, les circonstances semblent évoluer, semblent vous bousculer et elles semblent pénibles, par contre, la réalité est qu’elles vous permettent de devenir cet être lumineux que vous êtes.

Faites confiance à votre nature. Laissez-vous grandir. Ayez confiance. Votre corps a su grandir, il a su faire de vous d’un bébé, un adulte. De la même manière, il saura prendre une conscience immature et la transformer en conscience mature, parce que votre nature véritable s’en occupe.

Tout cela est à l’œuvre, tous ces processus sont à l’œuvre. Concentrez vous sur ce qui est éternel, pas sur ce qui ne dure pas. Accordez-lui votre présence à cette expérience, bien sûr, mais ne lui accordez pas l’intégralité de votre attention. Ceux dont c’est l’œuvre le savent. Ceux dont ça n’est pas l’œuvre n’ont pas à s’en occuper plus que cela, sinon vous perdrez la joie. Vous savez, quand on s’occupe de ce qui n’est pas notre œuvre, on perd sa joieQuand on s’occupe de ce qui est son œuvre, on trouve la joie, et il peut y avoir des circonstances extérieures qui évoluent, qui avancent, qui bougent, qui sont plaisantes ou déplaisantes et vous gardez votre joieVous gardez la sensation d’être à votre place.

La joie est un excellent indicateur. Poursuivez-là, ne la perdez pas au profit de ceux qui veulent juste vous faire peur pour vous faire perdre ce pouvoir de retrouver votre joie, et ainsi contrôler quand vous pourriez en avoir ou non. Le monde s’ouvre à cela. Le monde s’ouvre à la joie derrière cela.

L’important ne vous sera jamais enlevé.

Soyez bénis par la vie, bénis par les circonstances et bénis par notre présence, qui est un honneur pour nous.

Canalisé par Sylvain Didelot


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Texte partagé par les Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre