Message du professeur Zolmirel

« Tu as encore un autre message,

Cela se bouscule en ce moment, et nous effectuons avec les canaux du monde entier un travail très dense de diffusion de textes.

Mais cela est bien plus que des mots, ce sont des énergies cosmiques que nous condensons, que nous encodons avec soin, afin de les redistribuer vers vous.

Tous ceux qui « téléchargent » ces données et les rediffusent ensuite, font un travail très louable.

Oui, tu l’as dit, même si l’être humain n’est pas parfait. Chacun s’efforce de suivre un chemin, et avance de son mieux.

Acceptez donc de trébucher et de vous relever ensuite, chers amis.

Nous les aliens, sur notre monde, sentons ce qui va advenir. Nous sentons lorsqu’un petit alien a besoin de soins et est angoissé la nuit. Les guérisseurs se tiennent prêts à cette éventualité. Il peut vous sembler paradoxal que les navigateurs expérimentés que sont ces petits, d’à peine cinq ans pour certains, peinent à trouver le sommeil, mais c’est ainsi.

Cela est lié à la guérison de leurs mémoires anciennes.

Pour des êtres aussi jeunes, traverser autant de périls a laissé des traces.

Heureusement sur votre monde, les enfants sont aimés et considérés. Mais les femelles, les femmes ne le sont pas toujours. Et nous avons bien des choses à dire, oui, il est bien des choses qui nous consternent, le mot est faible. Le mot « vive indignation » serait plus juste.

Sur la plupart des mondes aliens qui sont éclairés, l’élévation spirituelle s’est effectuée au travers de la réunion du féminin et du masculin.

Je dis la plupart, car il existe des peuples très différents de vous. Il existe des créatures hermaphrodites, qui possèdent en elles, une polarité masculine et féminine. Tous les êtres d’une planète sont alors parfaitement identiques au plan physiologique. Et il existe des mondes, comme le vôtre donc, où mâles et femelles ont une physiologie distincte. Mais cela ne doit point vous séparer.

Bien sûr, cela peut heurter votre sensibilité qu’il en soit ainsi, qu’il existe des créatures androgynes, mais dame nature aime la fantaisie, l’harmonie, et il lui plait de réunir les deux polarités en un seul être.

Il lui plait de faire des créatures très variées, autant que les couleurs des oiseaux exotiques. Me suivez-vous ?

Sur ces mondes aliens très élevés, donc, très paisibles, les aliens mâles et femelles cohabitent dans une extrême harmonie, un grand raffinement. Ils effectuent beaucoup d’activités ensemble, des activités sportives, intellectuelles, spatiales, techniques, artistiques.

Sur les mondes peuplés d’aliens plus ou moins belliqueux, plus ou moins fermés au niveau du cœur, il n’en est pas toujours le cas, les femelles sont très déconsidérées et résident séparément des mâles, dans des lieux, où la plupart du temps, elles effectuent des tâches jugées « secondaires ». Ces lieux sont des bâtiments à l’écart, comme les « éclosoirs », et les nurseries.

Ces aliens femelles vivent là et s’en estiment très satisfaites malgré tout. Elles sont persuadées qu’elles font la plus belle chose au monde. Et cela, je dois dire, est bien vrai.

Pour prendre un exemple, je citerai cette planète très lointaine, dans une autre galaxie, qui est absolument sépulcral. Il s’agit d’ une planète minière, autrefois jouissant d’un niveau de vie florissant, et qui n’est plus peuplée très faiblement, que de généticiens chercheurs, accaparés exclusivement par leur science.

Ces généticiens, les Gzokis, se reproduisent par clonage, et il leur serait absolument impensable de devoir prendre soin des plus jeunes. C’est pour cela que le peuple des Gzokis, (des petits aliens assez malingres), préfère confier leur éducation exclusivement aux femelles.

Oui, ce sont les femelles qui bercent, qui alitent les petits clones. Et comme ces petits sont charmants ! Ces nurseries sont des lieux de douceur, des havres de tendresse sur cette planète dure, gelée.

Mais les dirigeants mâles n’ont que mépris pour les femelles, qu’ils cloîtrent et considèrent comme des incapables. Elles subissent depuis des siècles, du mépris, du dédain, et ont décidé que cela était à présent terminé.

Il se produit actuellement là bas un bien grand bouleversement, car il y a eu depuis peu une révolte silencieuse.

Les aliens femelles s’en sont simplement allées ailleurs, vivre en un lieu caché plus confortable, abandonnant les mâles à leur sort.

Ces mères affectueuses se sont attachées très fort aux petits que l’on leur a enjoint de choyer, au départ par la contrainte. Elles les ont tous emmenés.

Pour leurs tâches de clonage, les généticiens ombrageux ont besoin de prélèvements cellulaires nombreux des mères. Cela est indispensable pour que la population possède un taux d’échantillonnage ADN suffisamment diversifié. Dans leur arrogance, ils l’ont simplement oublié. Ils ont oublié qu’ils dépendaient entièrement d’elles.

Donc, ils sont désormais privés de leurs descendants et de leur nurserie. Le monde austère des Gzokis, qui est formé de cités souterraines, est voué à s’éteindre, car les épouses restantes, en nombre si faible, ne pourront permettre de compenser la population qui a fui. A moins que les régnants mâles, si rigides, acceptent de modifier leur attitude… Ils sont à présent très divisés sur ce point.

Ceci est une histoire, un simple exemple, pour montrer jusqu’où va la cruauté entre mâles et femelles.

Cela est aussi pour vous faire réfléchir, chers habitants de la Terre. Oui, car que se passerait-il, si les femmes désertaient les contrées, où elles sont rudoyées, battues, violentées, – et je passe certains détails abjects –  ?  Que se passerait-il, si elles fuyaient ces régions où les hommes règnent sans partage, en tyrans cruels, en despotes absolument insensibles ?

Les femmes de votre temps, il n’y a pas si longtemps encore en Europe, étaient privées du droit de s’asseoir à table, de manger avec les hommes, elles devaient manger dans la cuisine, les restes de repas. Elles étaient considérées, au mieux comme des servantes, au pire comme des esclaves et opprimées sévèrement.

Et cela est encore valable dans les pays habités de peuples traditionnels, où les femmes, qui font pourtant à déjeuner, doivent manger les reliefs de repas, regardant les hommes s’empiffrer ! Même les femmes qui portent une nouvelle vie à venir, se voient privées d’une nourriture conséquente et décente ! Cela est-il juste ?

Comment peut-il en être ainsi ? Comment votre monde peut-il encore être si cruel, arriéré ?

Lorsqu’on songe à ces bars, même au cœur de vos villes « civilisées », peuplés d’un public plus ou moins heureux d’hommes désœuvrés, lorsqu’on songe qu’une femme n’osera même pas y entrer, sous peine d’être submergée de plaisanteries douteuses, nous avons peine à croire que cela puisse encore exister…

Une femme doit subir quotidiennement railleries, rudesse, bousculades et mépris en certains lieux de travail de votre monde, elle doit affronter des regards malsains sans sourciller. On lui fait sans cesse croire qu’elle vaut moins, qu’elle compte moins qu’un homme, que ce soit par son salaire, plus faible, ou par l’étroitesse de son éducation, bien plus coercitive que chez un garçon.

Pourquoi, et comment pouvez-vous séparer le monde des hommes et celui des femmes ? Une femme n’a-t-elle pas le droit de boire, de s’alimenter, de venir prendre une tasse de thé à la terrasse d’un café, de se promener tranquillement dans la rue ?

Quel est ce monde absurde que le vôtre ?

Pourquoi la place des femmes devrait être moins grande que celle des hommes ?

Les femmes de votre temps, celles de votre passé, ont bien du mérite. Celles de ces pays où elles sont opprimées pourraient fuir, abandonnant les hommes à leur sort. Ceux qui les gouvernent d’une main de fer n’auraient alors que leurs yeux pour pleurer. Et ce serait justice de les laisser entre eux… Oui, elles pourraient le faire, ainsi ces pays despotiques disparaitraient en à peine une cinquantaine d’années.

Mais elles ne le font pas comme dans mon récit, elles restent là, vaillantes, à essuyer les coups, les injures, la cruauté, et restent droites.

Nous vous invitons à considérer ceci, chers amis de la Terre, que ce sort des femmes mérite toute votre attention. Il n’est plus temps d’opprimer vos jolies semblables à la démarche légère, mais de les aimer. Ou alors votre cœur est-il devenu aussi sec que celui de ces généticiens obscurs ? Déserté par la tendresse, par toute sensibilité ?

Nous sommes heureux d’une chose, que les femmes se soulèvent, dans tous les pays où elles se sentent opprimées par une race d’esclavagistes attardés. Oui, nous sommes heureux qu’elles songent à fonder des équipes de sport, à conduire, prendre les rênes de leur vie et ne rendre de comptes à personne !

Nous sommes immensément heureux de ce qui se passe sur Terre en ce moment, qu’enfin les mères, les filles, les jeunes filles s’affirment et osent revendiquer qu’elles aussi ont doit au bonheur.

Vous êtes sur la bonne voie, nous sommes très touchés de voir, que ces femmes de votre monde, sont soutenues par des hommes lucides, au cœur pur, tout à fait conscients de cette nécessité de rétablir la justice entre hommes et femmes.

Ce message est inhabituellement long, nous avons quelque peu débordé du sujet, bien vaste il est vrai.

Chez nous, en nos cités de lumière, il existe beaucoup de dames aliens, qui œuvrent en tant que navigatrices, guérisseuses, mais aussi ingénieures en construction des édifices, chef de la sécurité et personnel enseignant.

Ce n’était qu’une petite parenthèse, un petit message de soutien pour la gent féminine aussi, qui nous touche beaucoup. Nous recueillons souvent des femelles aliens qui ont subi des brimades, des vexations continuelles et en les soignant, c’est un peu votre monde aussi que nous soignons,

Avec amour, avec espoir, pour que refleurisse la douce communion entre hommes et femmes, »

Le Professeur Zolmirel et tous ses amis, accompagnés de beaucoup de dames aliens,

Transmis le 29 novembre 2017 par Aurélia LEDOUX

Source : http://www.unepetitelumierepourchacun.com


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Texte partagé par les Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre