Les origines officielles de l’Egypte
L’Egypte est une civilisation aux multiples interrogations, de pratiques magiques et des secrets les plus énigmatiques de l’histoire. Mais l’un de ses plus grands mystères reste encore celui de son origine.
En effet, si on en croit la version officielle, certaines incohérences historiques ne semblent pas déranger la communauté archéologique.
Il faut préciser que traditionnellement, le découpage temporel des différentes périodes de l’histoire antique Égyptienne, nous vient de Manéthon de Sebennytos, un prêtre Grec et historien du 3ème siècle avant notre ère, et que ces dates sont de plus en plus remisent en cause, mais d’une façon très timide. Nous allons voir que la remise en cause devrait être beaucoup plus profonde, surtout pour les premières périodes.
L’histoire de l’Egypte à remettre en cause
La période pré-dynastique, entre environ -5 500 à -3 150, nous dit Wikipédia, « … commence avec la sédentarisation de diverses peuplades au bord du Nil puis le développement de l’agriculture et de l’élevage à la fin du néolithique« . Rien à dire, puisqu’il ne se passe presque rien, selon la version officielle.
L’Égypte commence réellement à la première dynastie (d’environ -2 920 à -2 686, appelée aussi période Thinite), sous le règne de Ménès, où le pays va commencer à s’organiser autour de Thinis dans un premier temps, puis Memphis dans le delta du Nil.
Il est important de préciser que dès cette période, Osiris est déjà très vénéré, et que le roi prend automatiquement le nom d’Horus, fils d’Osiris, pour renforcer sa légitimité.
La période Thinite couvre la première et la deuxième dynastie.
La première incohérence évidente intervient durant l’ancien empire (entre environ -2 686 à -2 181). C’est à ce moment que sont censées émerger les plus grandes constructions de toute l’histoire de l’Egypte (Voir de l’humanité), la grande pyramide et le grand Sphinx compris.
Les incohérences archéologiques
Dans une période d’à peine 500 ans, les Égyptiens construisent la plus complexe des constructions de toute l’histoire de l’humanité, la Grande Pyramide de Gizeh, sans expérience, et sans presque aucune construction de test. De plus, on s’attendrait à voir un chef d’œuvre de ce type à l’apogée d’une civilisation, c’est à dire, en toute logique, vers la fin de la dernière partie des périodes dynastiques. Or là, c’est complètement l’inverse. C’est comme si la Tour Eiffel avait été construite au début du moyen âge.
Autre point, pourquoi n’existe-t-il pas d’autres édifices équivalents, construits par la suite ?
Mais le plus étrange reste tout de même la réalisation de la grande pyramide, qui n’a toujours pas d’explication officielle cohérente.
Selon les spécialistes, pour que l’origine de la pyramide soit compatible avec une édification sous le règne de Khéops, la construction doit avoir durée 20 ans.
Après un rapide calcul, avec une base de 230m et une hauteur de 146m, en comptant 12h par jour et 365 jours par an, une pierre doit être hissée, placée et ajustée en seulement 2,5 minutes. À titre de comparaison, la Pyramide de Teotihuacan qui fait 225m de base et 60m de haut, aurait été construite en 150 ans, et elle est beaucoup plus simple et moins précise que la grande pyramide de Gizeh.
L’accumulation des mystères qui entoure cet édifice ne s’arrête pas là ! Je vous invite à visionner la vidéo ci-dessous, si vous ne la connaissez pas déjà.
La révélations des pyramides
Après avoir vu la vidéo ci-dessus, il paraît évident que l’archéologie est très loin de la réalité, tellement loin que l’on finit par se demander si ce n’est pas volontaire, pour ne pas avoir à réécrire l’histoire, ou pire encore, pour cacher la vérité.
Dans tous les cas, il semblerait que les connaissances et les techniques utilisées pour élaborer la grande pyramide mettraient en évidence, et sans l’ombre d’un doute, un colossale anachronisme. Comme il est peu probable que sa construction est été finalisée après 2 500 ans avant JC (pour des raisons historiques mieux connues), la solution la plus rationnelle est d’envisager une construction beaucoup plus ancienne, et même d’imaginer qu’elle n’est pas été construite par les Égyptiens, mais par des ancêtres beaucoup plus avancés qu’eux.
Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, la Grande pyramide n’est pas un cas isolé. Le Grand Sphinx et certains autres temples sont dans le même cas de figure, sans oublier tous ceux que nous n’avons pas encore découvert.
(Voir article : À pied joint dans l’archéologie interdite )
(Voir article : La mystérieuse cité de Tiahuanaco )
(Voir article : Osireion, ancien temple de Séti 1er )
Qui sont donc les ancêtres bâtisseurs de l’Égypte ?
Alors que les historiens nous parlent de peuplades immigrantes sur les bords du Nil, la question est : « Quels seraient les véritables ancêtres bâtisseurs de l’Égypte ?« .
On pense bien évidemment immédiatement à la mythique légende de l’Atlantide.
N’oublions pas que ce récit est Égyptien, repris par Platon, raconté au Grec Solon par les prêtres Égyptiens de Saïs.
Les Atlantes seraient-ils les ancêtres des égyptiens ? Mais dans ce cas, il faudrait admettre que la légende raconte une histoire vraie !
Les Atlantes seraient-ils les ancêtres des égyptiens ?
Dans la mythologie Égyptienne, le grand Osiris accompagné d’Isis auraient été les fondateurs de la grande Égypte. Grâce à leurs connaissances infinies et à leur maîtrise de la vie et de la mort, ils auraient édifié les fondations administratives et spirituelles de l’Egypte.
Osiris et Isis seraient-ils les ancêtres/parents des Égyptiens ? Mais dans ce cas, il faut croire à l’existence des dieux Égyptiens ! À moins qu’ils n’étaient pas des dieux, mais vu comme telle.
Une autre hypothèse place les Sumériens comme candidat potentiel. Il existe des liens évidents entre les mythologies sumériennes et égyptiennes, qui curieusement ne semblent pas être très exploités par les Archéologues. Mais on ne peut pas ignorer que les origines Sumériens sont antérieures aux origines Égyptiennes, voir très antérieures.
De plus, la Mésopotamie est à l’origine de nombreuses ziggourats, ressemblant à des pyramides, qui auraient pu être un apport de connaissances évidentes pour les Égyptiens.
Les fondateurs de Sumer seraient-ils les ancêtres des Égyptiens ? Mais dans ce cas, il faudrait admettre les liens évidents entre les deux peuples, et surtout montrer que l’origine des Sumériens est beaucoup plus ancienne que la version officielle de l’histoire. De plus, l’origine de l’émergence des Sumériens est tout aussi mystérieuse que celui de l’Égypte.
Et si la vérité se trouvait un peu dans chacune de ces hypothèses ? Pour cela, il faudrait trouver un point commun, et il pourrait y en avoir effectivement un ; Osiris.
Ptah, Osiris, Isis, Horus ; Les Dieux fondateurs de l’Egypte
Dans l’absolu, pour qui la mythologie Égyptienne n’est pas inconnu, personne ne peut contredire que c’est Ptah, puis Osiris accompagné d’Isis, qui furent les divinités fondatrices de l’Egypte. Horus fut ensuite le fils d’Osiris et d’Isis, qui renforça l’alliance avec les hommes, et qui donna son nom à tous les futurs Rois et Pharaons d’Egypte. Il se trouve que Ptah est très probablement l’Archétype primitif d’Osiris. Ptah et Osiris serait donc le même dieu. Le couple divin Osiris et Isis sont donc les créateurs de l’Egypte, mais qui sont-ils réellement ? De simples légendes, des Dieux, des Rois déifiés ou des « leeders » ayant pris le pouvoir grâce à leurs connaissances très avancées?
Et pourquoi ne pas prendre les écrits sacrés égyptiens au pied de la lettre, d’imaginer, au même titre de Jésus Christ, que ce couple est réellement existé et qu’ils aient véritablement fondé l’Egypte ?
Osiris entouré d’Isis et d’Horus
Juste pour ne pas froisser les Archéologues ?
Car ne nous voilons pas la face. Nous serions peut être obligé d’admettre qu’il existait probablement un groupe de personne avec des connaissances et technologies anachroniques, venant d’une civilisation plus avancée que la nôtre, à une époque bien antérieure de l’origine officielle de l’Égypte et des Sumériens.
Nous serions même peut être contraint d’envisager une intervention extraterrestre, qui soit dit en passant n’a rien d’illogique, et qui n’est pas une hypothèse à rejeter.
On comprend pourquoi l’histoire officielle bloque, et essais d’imaginer des scénarios qui deviennent difficile à admettre au regard des indices découverts, quand on observe ce qui ce passe sous la partie visible. N’oublions pas non plus, que les Pharaons Égyptiens étaient les maîtres de la manipulation, pour s’approprier la puissance des Ancêtres et des dieux, en réadaptant subtilement les légendes, les temples et l’ensemble du matériel sacré.
Comment ne pas envisager que l’histoire officielle ne comporte pas une part conséquente de réadaptation volontaire des véritables événements.
Il faudrait être extrêmement naïf pour penser que le peu d’indices découverts jusqu’à nos jours constituent la seule et unique vérité sur des évènements aussi éloignés que l’origine de l’Egypte.
Et si Osiris avait réellement existé !
Quoi qu’il en soit, conservons l’hypothèse qu’Osiris est réellement existé en temps que personne. N’oublions pas que tous les mythes et légendes conservent incontestablement une part de vérité transformée au fil du temps, volontairement ou pas.
Le royaume d’Amemptah
Selon la légende, A´amemptah (Amenta ou Amenti) serait un lieu maritime mythique éloigné et situé à l’Ouest actuel de l’Egypte, qui se rapproche beaucoup de ce que l’on pourrait dire de l’Atlantide.
(Voir article : L’Atlantide sur les Îles Canaries ? )
Ce lieu représente le séjour des Dieux, mais aussi la mère patrie d’Osiris. A´amemptah en Égyptien peut vouloir dire ; « Lieu grand et stable de Ptah (Osiris) ».
La particule Amen ou Imen représente le « dieu caché Amon« , en Égyptien. Amen en Hébreux signifie « ferme » et « stable », et deviendra le « ainsi soit-il » pour les Judéo-chrétiens.
Ce monde représente un lieu caché des êtres vivants et de certains autres dieux, le royaume de l’au-delà, mais aussi le royaume des morts.
N’oublions pas qu’Osiris et Isis régnaient sur le monde des morts.
Les liens avec la mythologie sumérienne
Extrait d’un poème sumérien « Enki et l’ordre du monde » :
« Enki érigea un temple, précieux et inextricable sanctuaire. Il l’érigea en pleine mer. Ce sanctuaire au plan grandiose, compliqué comme une natte, dont la partie basse est à l’image de Iku (la constellation de Pégase) et la haute, celle de Gisgirgir (le chariot), entouré d’un flot houleux, doté d’un fantastique éclat surnaturel, dont même les Grands Annuna n’osent s’approcher. […] Les Annuna debout devant lui, priant et invoquant en ce temple marin, dressèrent pour Enki une haute estrade »
Il s’agit en fait d’un poème Sumérien qui raconte une histoire des origines de l’Egypte.
Il existe de fortes ressemblances entre les Dieux Sumériens et Égyptiens. Ces similitudes sont tout d’abord de type symbolique, mais pas seulement.
Enki, l’une des divinités principales de Sumer, est de toute évidence en relation avec Osiris, il pourrait s’agir de la même divinité. Tous deux à l’origine de l’évolution et de la protection du peuple, prenant leur sources dans les eaux des mondes souterrains, ces deux divinités mélangent leurs symboles et leurs récits, à tel point que la distinction entre les légendes Sumériennes et Égyptiennes sont difficile.
(Voir article : Les racines de nos souffrances )
Seth, l’ennemi juré d’Osiris est de toute évidence à mettre en relation avec Enlil, le rival d’Enki. La haine qui alimente leurs combats est légendaire et se propage de Sumer à l’Egypte. De même qu’Ereskigal, qui signifie en Sumérien « la Grande Reine de la Terre« , correspond très probablement à la Grande Isis.
Quelques questions viennent à l’esprit !
Sont-ils véritablement les mêmes personnages ?
La tradition symbolique est-t-elle une répétition traditionnelle encrée dans l’inconscient collectif ?
S’agit-il de légendes ou de véritables évènements Sumériens repris par les Égyptiens, puis repris par les Grecs et les Judéo-Chrétiens ?
On retrouve beaucoup de mythes et de légendes racontant les mêmes évènements, comme si les récits avaient traversé le temps (avec quelques transformations) jusqu’à l’Égypte, et jusqu’au Christianisme ensuite.
La question devint donc « Quels sont les véritables ancêtres bâtisseurs de Sumer ? »
Sources principales : Le testament de la vierge et Eden de Anton Park
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Texte partagé par les Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre