Le Mat nous suggère de voir comme des lames, puisque nous sommes dotés de la parole, le scintillement de la parole créatrice nous ouvre à la multidimension de l’être doté de conscience. La vie ainsi lui ouvre tous ses bras de beauté dans son jardin au fur et à mesure que la sagesse pénètre plus profondément en lui, dans un langage silencieux de bouches à oreilles, l’apprenti initié rencontre de plus illustres sages sur sa voie de connaissance. Son jardin intérieur s’enchante à mesure de pas attentifs et attentionnés. Il voit petit à petit l’étroitesse de ses rouages et depuis la psyché, la Vérité creuse son sillon dans les trames de sa venue. Une à une, selon ce que les feuilles d’automne cimentent, l’oiseau de l’Esprit déploie son regard sur les doux battements de nos âmes. C’est ainsi que l’ange de la destinée se présenté, il est le signe de l’initiation, le grandiose se présente à chaque instant, ouvrons la porte de la Grâce.  »

Je suis l’alpha & l’oméga. En moi ne se trouve d’aucun avant ni rien d’après qui ne soit ce que Je suis. Ici est la vie est la lanterne du monde. » Voir comme des lames invite à voir sur plusieurs angles, sous d’autres angles, le monde c’est le démon, le démon dans le monde. Le dernier qui dit dans le monde c’est le démon, agrandis et sauvé. Le dernier pont, ou point, lancé au roi du jeu qui se déroule et se déroulera déjà comme la lame victorieuse du Dieu solaire, loi transcendante toutes les lois, roi elfique supérieur trônant sur toutes les royautés. La langue de pierre est son alliance avec les les hommes de lignée des anciens dieux atlantes, ils sont sa fluide divinisation dans toutes les espèces de matière-vie, les dauphins constructeurs des très sages, savoir des initiés qui fut corrompus durant les grands renversements galactiques. Sept fois la langue sacrée fut perdue, sept fois de ponts il a fallu pour que se stabilisé les fortes vitalités des Pères sculpteurs et c’est en sept fois que la Venue annonciatrice l’affirme. La maîtrise sur la matière est aide à la Volonté. Le cordon qui nous relie à notre manifestation divine est ce qui soutient le véhicule de lumière. Dans notre ancrage terrestre, la Volonté se naît Mère-souche, son éclosion est devenue verbe, et le verbe est nombril du monde. Son écharpe est un cordon ombilical, s’ondulant et nous entrelaçant, nous enferment, usant et corrompant.

Nous naissons par le verbe, car le verbe est en lui. Le mat s’élève, est le monde. L’horizontal qui recherche le vertical et le vertical qui recherche l’horizontal. Le bas observe le haut et le haut observe le bas. Le verbe est horizontal et sa réalisation est verticale. Le verbe appartient à la terre et le ciel est dans les feux de sa terre. Le fou, ou le feu, est celui qui a le plus d’intelligence. La syllabe FOU ne suggère-t-elle pas un feu qui embrase ? La maîtrise du feu, la Volonté qui embrase les buissons sans les consumer, le soleil inoxydable, le fragment enterré. Aide-toi dans l’instant présent car rien ne te trompe hormis toi-même, l’horloger c’est ce qui fait de ta matière la corruption établie, la pensée déguisée des mirages de la comédie ou des comédies. S’il t’es montré de voir un masque, te diras-tu qu’il est porté par tes acteurs ? Retirons le voile de Bénitie et emmaillotons la robe des discours. Tu nais par le verbe, c’est ton cordon, ta toile qui est suspendue et dont tu prends en plumes les luminaires hauts et sacrés. Est-ce la matière que tu dénudes ou autrui ?

L’âme a un potentiel d’émissions, elle est déjà une structure en soit, et selon son imbrication, sa fonction peut advenir des meilleurs avantages comme des pires inconvénients. Il faut un lent apprentissage pour en comprendre toute la signification avant d’espérer opérer, or la chirurgie qu’use la science de la vraie médecine n’a qu’objet la Science des volontés propres. Si les échanges d’intelligence passionnent il est à noter que pour quelques usages, l’utilisation de cette médecine ne peut se partager qu’à un certains traits de stabilité. L’usage de la connaissance médicinale se veut garante des lois de Volonté d’harmonie, aussi les thérapeutes angéliques permettent aussi à ce que puisse se vivifier cette Source de Lumière, aussi il vous est précisé de ne perdre de vue le vers premier du très-Haut ;  » Couvre-toi de patience. »

Plateau du Temple de QuetzalCoatl

TempleQuetzacoatl

La pureté des hommes dauphins provient de leur courage, le flux de la vie les parcours, ils sont les maîtres des océans, des mers et sans hiérarchie, la haute pureté se dégageant de leur sagesse purifie ce qui doit être dans la Grâce des fluides.

Le tambour du chaman ouvre les portes de la perception, le vent dans les arbres porté l’écho d’une flûte enchantée, le cœur angélique des oiseaux révèle la voix des dieux, l’âme prend son envol et surgit du silence.

Le verbe, qui est nombril du monde, permet d’allier ignorance et connaissance, sans en donner plus à l’un comme à l’autre. Tenter d’enfermer la roue des cycles en lisant que depuis la connaissance ou uniquement depuis l’ignorance ( on lit ce que l’on voit ), vérouille la sagesse un temps long. L’équilibre entre la connaissance hermétique et la spontanéité du novice doit être trouvée afin de laissé la roue nous parler, la connaissance s’adresse à toutes et tous au-delà du dogme, de croyances ou des sciences. Son langage est universel, comme en astrologie, roue qui, en-haut comme en-bas, est. Les lames, ou triomphes, comme le soleil qui éclaire dans toutes les directions ; tournent sur leur axes, il est important de retourner le  » jeu dans tous les sens « .

Il est fou celui qui cherche encore à se dérober de ses miroirs aveuglant, pourtant, le mat est mesure, carte de mesure et outil mesurant pour la sculpture de Dieu, Son Triomphe. Le fou est mesure pour que se placent entre elles les autres lames, rayons du cycle, il serait bien prétentieux de considérer le mat comme naïf, il est l’axe central du navire, lui porte la direction, il est la colonne vertébrale, l’aiguille de Saint-Jacques. Comme le mat d’un bateau, il est coiffé, joliment drapé, il est poussé en avant par une force terrestre, il porte le verbe, comme une cuillère prête à lamper. Il est presque en sentence d’inspiration, suggestion du triangle noir dans le point blanc sur sa gorge. Il sait se guider par la lune, relier le feu d’en bas de lumière et relier le feu d’en bas purifiant. Il est maîtrise la force de sa sexualité qui l’oriente avec intuition.

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En offrant de corps d’eaux et d’esprit, le christ en soi reverdis les louanges, d’un sel d’or enrobé, en retirant toutes les vertus métalliques, d’abord le jaguar noir, mi-loup, mi-Dieu félin aux yeux méditatifs. Puis l’annonce des os fracturés sous les pas de nos rêves. Alors on glorifie le Très-Haut, en nous inclinant à livrer la part de sagesse que nous sublimons, en catalysant les radiations, le cœur solaire croque et goûte. Ce sont les étoiles qui par signes et heureux hasards nous font cultiver les pépites des plumes angéliques. Suivons la voie lactée en appelant la pureté de son socle lunaire. Dons des fées inclinées, la baguette est tombée dans le berceau, c’est dans un délicat embarras et une amusante retombée que l’œil du bébé a changé.

Subjugué, c’est l’enfantin qui est précipité dans l’étroitesse de la résonance. « Réveille-toi ! », dis déjà la bonne fée de l’horlogerie. C’est en signe d’espoir que la petite fée se dit de nous atteler à la purification naturelle, vite, vite, au bain des huit semences. A la rotonde des mâts, notre venue se veut et se désire de créer. Qui sans cela puis désirer ? Honnêtes responsable, la dignité du savoir est un verbe debout et humble de paroles. si nous ne savons pas faire écologie de nous-même, n’espérons pas ne pas l’être par plus autoritaire, notre âme a l’exigence de la pureté et sait ce qui est bon et utile. Cela l’est dès l’instant que nos propres règles de conduites sont déshabillées dans la cause de leurs effets.

Ne nous noyons pas dans les vaines solitudes du dialogue qui se peu prendre le temps d’abord de la vraie rencontre. C’est en l’absence de se reprocher d’abord envers soi-même qu’il est important de pacifier pour espérer travailler à un quelconque édifice d’idées abstraites. La culture, si c’est en cela que nous opérons en son absolu est alors source d’épuisements et de maladies. Si culture nous établissons, nous nous devrions alors mieux reconsidérer l’utilisation des ressources collectives en termes d’échanges d’idées autant qu’en termes de constructions pour leurs réflexions. Il est aussi à intégrer les attributs des distributions et formes de partages. La tradition racinaire qui est à entendre sous les pas de chaque instants est unifié aux codes sources des êtres. Nous nous incarnons dans la réalisation des dissolutions du sujet âme pour ascensionner en l’union par les fibres-mères de la trame de vie.

Nous redevenons passeurs des plus fines substances des créations, c’est ainsi mieux simple de trouver la mémoire qu’il nous paraissait manquer. Tendons les vecteurs, sources de vie, pour que ce soit épanché la soif des âmes vers les initiations. Les ressources planétaires sont utilisées par les noyaux et comprenons que le vecteur du soleil Saturne s’inscrit dans la rotation des cycles infinis. C’est la vacuité d’être qui nous restructure, nous vitalise et régénère les corps de matières subtiles. La vraie lumière n’est pas celle de notre système solaire. Cette lentille fait converger le Dieu de Tout. Nos âmes reliées, sont en peines de ne l’atteindre que par messagers, c’est l’envol angélique qui permet la réalisation de guérisons nécessaires au maintient des ordres. Que sur terre ou dans les cieux se joignent nos prières, ondulations des Temps annoncés, faites entendre vos vœux d’amour. Les vieux arbres se font garant aussi de gratitude, les élans de nos qualités purifiées jaillissent comme des vertus, ce sont des œuvres cardinales, ajustées aux vœux cosmiques, nos nuances reflètent les puretés, sourire d’éclair et larmes réchauffées, noyau des paumes, sésames des cieux.

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La sagesse de la guérison la voici. Nous sommes toutes et tous au centre d’un cube. Quand nous nous projetons dans l’horizon, nous nous structurons durant le temps imparti. Une fois élaboré, l’oiseau guide nos pas vers l’œil de l’horizon. Puis, et élancé, la fleur tombe du mât, synchronisé avec tous les temps. C’est une réflexion profonde qui y mène, car cette science énoncée sept fois dans la langue des feux trébuche. Il est en une seule et même voyelle qu’est énoncé la table au centre des temps. Puisque la parole s’est faite chaire, ce sont dans les initiales des empreintes des pères que sont sculptés les lois des temps à venir. Il y a huit discours établis aux pieds de la table. Une grande voie royale a sculpté les trois temps dans le temple de Méhadis.

Nos ancestrales traditions sont les rois et reines aux horizons. Une lignée de rois sculptent les différents piliers pour puiser dans la sagesse des grandes oies, une roue dans la jetée voisine et voici que la mémoire des grandes mères embarquent. Notre annonce est faite de gloire, il n’y aura que pour les aveugles que l’encrier jettera sa toile sur le bureau. En se levant d’un pied respiré; souffle une lumière de juste, qu’il soit bon de puiser la vitalité, béatifiée de la vérité. Sois bon envers ce qui égratigne la rosée, garde fleur au tombeau, c’est la destinée. Un meilleur ouvrier des pollens s’octroient le fer, c’est la risée des vers, langue de putréfaction. Le style de volatilité, subtile fixation du beau fixe, une fois pesé et trouvé l’huile qui est croisée par étoiles est nettoyée. C’est la fronton franchit, le nouvel initié en traversant la porte de la venue fait chavirer le suivant. C’est ainsi qu’une nouvelle mérelle est crée, c’est le bruit des pas du sage, le sel est nettoyé, le soufre a somnolé et l’argent a scintillé. Nouvel âge d’or. A pas présent,le sourcier embarquer, diplômé des oiseaux et des arbres, la connaissance extraite est purifiée de feu, la porte du temple en grès rose est entre-ouverte, chapeau bas lui tire la femme à la croisée des sources.

Nous voici, très cher Aldus, pénétré des instances, as-tu pris le poisson ? Il n’est nécessaire que des plus généreux. Nous sommes la venue, soyons pacifiques, tout est en nous frère d’armes.

C’est ainsi que s’est établi le nouveau temps, nos pas sont des soleils naissant puisque, même endoloris, nous soyons ce qui ne peut qu’être pensée sublime du très-Haut, nobles initiés aux puissances des dons, consentez à ne puiser que la rosée des sels minéraux, métallurgies de Pluton, c’est au découvert des enfants du dauphin que sont chevauchés les oriflammes d’eaux. Infécondé et neutre son caractère. Nous obtenons par la dissolution une synthèse. Notre langue a servie de concerts à toutes les flammes, il est de surcroît d’affirmer que la coupée a pris le cygne de vertus puis la déposé dans le calme.

C’est une matière non domptée, non souillée, non substituée, elle est d’abord raréfiée, puis délogée et refondue. Les âmes qui entrent dans les champs de gravitation usent de ce processus pour matérialiser la Conscience, source de volonté de toutes vies. C’est initié aux différents verbes que notre structure retrouve les axes de profondeurs que nous explorons., ce sont les différents moyens communicants avec les étoiles atlantes. Ainsi affiné, la méditation pénètre la matière palpable de la psyché, les nœuds de volonté ou les noyaux d’âmes ancestrales sont à libérer par l’intermédiaire des guides. Nous avons calibré les différentes gammes de structure, vient un temps annoncé, puis la connaissance d’une valeur cachée, c’est langage des géométries, prudence est la harpie au sol. C’est toujours en patience, sereine et robuste, que l’oeuvre crépite au loin. Si tu l’as confié à une salamandre, elle saura tôt ou tard t’y fer repasser. C’est au chant de mercure en mars que l’amande est prête, aux feux du poisson, sa venue annonce la fin du trésor d’hiver. Ouvre le champ mais continue de purifier le foyer, ce sont les derniers éclats du Dieu de Sol qui joint au Banquet la phélandre.

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On entendit parler les langues de terre, puis les langues des eaux, s’envola les langues d’airs et jaillit les langues d’eaux, toutes embaumées dans de l’argile verte dont l’ongue parfume les courants dynamiques. C’est ainsi que vint renaître le fils de l’homme. Sa réalisation fut perceptible par tous les maîtres qui rectifièrent tous leurs calendriers selon la lumière des trois lunes, puis nouvelles lentes, puis irradiés et exaltées, puis venue d’un horizon du troisième aurore, les temps ont commencés a laissé chanter les oiseaux, dans la boussole des âges, nos ancêtres ont façonnés pour mieux naviguer. Puis les sages en sont sortis vivifiés, une lumière a fendue les oies sauvages pour tempérer les conduits des âmes.

Un temps de purification se fait sentir, puis deux façonne la réalisation, et trois conduis. C’est en mesure de temps, puis d’espaces, que le saint-guérisseur vient inscrire dans l’ici, le temps, dans les eaux, la voie. Nos vers luisants se sont logés dans les forets pour prendre part au partage des services bien rendus. Ils commencent à dispenser l’enseignement comme des abeilles butineuses, sont des louanges qui sont cueillies et recueillies en poèmes, la nature des dieux anciens est arche de nouvelles pages. Regardons bien avec attention ce qui est sous nos yeux, dans les menus détails, il est possible que nous soyons des inspirations purs. Cherchons les sages qui partagent avec une harmonie particulière dans la voix, le discours non moins fort des perles de mers. Puisque les corps abritant les âmes ont faim et soit aussi des bienfaits de notre nature-mère, soyons les présents de bénédictions et de purifications. Nos élans partagés auraient pu avoir consumés sans nous l’apercevoir ce qui fut sacré. Nous sommes les vecteurs idéaux pour la réalisation présente, aussi bien en haut qu’en bas. Regardons avec aisance la matière et la nature. Elle est chamboulée si on se touche.

En se posant, sans même déplacer l’once d’une pensée, nulle matière n’est alourdie. Comme le corps est relié pour former, il est dépendant de lui. C’est se consumer d’amertumes, libérons les aspects des corps. Nos âmes sont flammes, c’est en cela que l’on se reconnait et nous sentons syntonisés. Notre chaleur est électro-magnétique, c’est le corps qui véhicule sa structure voltaïque, c’est important de revenir à soi pour nous laissé rejoindre par toutes les différentes effluves, c’est en nous laissant respirer que reconnaissant les matières se nourrissant. Quand bien même nous percevrions la santé du corps que comme une enveloppe de mécanique que l’âme elle sait ce qui advient de sa désynchronisation. Tout le travail de la vraie médecine consiste d’abord à se réintégrer comme nous le conduit le ou les véhicules de l’âme, le pouvoir du guérisseur est logé dans son âme et c’est en bonne conscience que cela est et en sera. Les âmes guérissantes sont accoucheuses d’âmes, ceci permet aux éthers logés dans les niches des royaumes supérieurs d’éclore leur bonté, sans le partage des dimensions, les plus fines structures de vie ne peuvent faire jaillir les source qui sont destinées à devenir les fruits du collier de connaissance, dont tous les temps jouent de feuillet.

C’est à l’urgence de notre bonne conscience qu’il est question de préserver ces marches de pierres. Voyons en tous les temps l’éclosion de l’Unification, c’est la nouvelle terre qui sommeille à vos rêves qui vous appelle à vous aussi développer la joie de l’extase du vivant. Cette polarité est socle à votre pleine venue dans votre vie, prenez conscience du lien fraternel qui relie votre nourriture à votre bien-être, remerciez tout l’ensemble, soyez vous aussi un socle ou la souplesse transite. Ceci vous revient de nature.LHERMITE.jpg

Le sculpteur divin mouille avec son éther la substance de matière, il entre en communion avec l’oeuvre de Volonté, sa profonde méditation l’invite à détenir les clefs du laboratoire, sa pensée fulgurante gronde jusque dans les feuilles des forets, vaisseaux des feux d’étoiles, sa main effleure puis par un éclair, c’est la lumière appelée qui jaillit comme un enfant.

L’âgé sculpture enchante, en inonde les différentes arches pour s’en unir de garder ce qui est sacré. A chaque temps, un savoir et une connaissance s’applique aux enfants qui chantent leurs corps du soleil.

L’enfant en garde mieux mémoire lorsqu’il puise adulte très fort dans sa création, on ne soupçonne pas ce qu’un parent place en terre dans l’espoir des générations, tous ces héritages regorgent des trésors acquis par les plus profondes racines de la vie. Toute la mémoire de notre passé et de ce que nous accomplissons en tant que groupes de conscience est gardé dans nos structures de manifestations. C’est en nous-même que nous allons libérer les étincelles verrouillées qui empêchent les évolutions reliées. Avec respect, l’esprit prépare à sa spiritualisation, le corps aussi est prêt à devenir calice des miraculeuses manifestations de l’âme ascensionnée.

Notre sculpteur a tous se veut humble et discret, attentif aux petits détails, son observation souple habille la présence bienveillante du caractère doux de son toucher. Notre cœur est oeuvre de sculpture, nos yeux intérieurs sont nos tambours. C’est d’âme que laissant circuler la lumière les connaissances se laissent dessiner dans les souples émanations fluidiques en méditations. Toute l’attention doit être portée sur l’union que nous sommes. Toutes les fois où nous laissons la respiration se détendre, les zones du corps autant de fois, le ciel y respire mieux en sa terre. C’est à nous-même de chercher pour peut-être nous laissé trouver par les planchers d’énergies des planètes. Les astres orbitent et pourtant l’énergie de vie stabilise la Conscience. En prenant le temps de nous décrocher des temps, c’est la biologie naturelle qui s’harmonise, nous n’en sommes pas séparés ou détachés, nous avons la mission, pour la vitalité des ensembles d’être nous aussi les vecteurs des soins prodigués par les énergies de la nature. Nous avons cette mission verrouillée dans la pierre que nous sommes à nous révéler la pureté.

Les ondes de vie font circuler les atmosphères nécessaires à la préparation des gaz sublimés pour que ce soit la Conscience vie et pure qui s’incarnant, vient transfigurer, transmuant mille millions de soleils, s’éclaire en source de pureté pour vitaliser, vivifier, c’est notre nourriture sacrée. Toutes les actions soulevant la pensée passent par des grandes structures pour s’affiner. Notre vie et toutes nos incarnations, préparent en réalisant une grande Oeuvre, une Ascension. Nos souffles sont sacralisés et ce sont les différents guides des dimensions qui nous font travailler sur nous-même, nous partageant leurs dons et soins. Ce sont ces grands instructeurs qui observent et valident nos étapes sacrées de vie. Comme dans les actes importants du quotidien, nous avons en réalité par mesure de souffles des missions à réaliser dans notre calendrier personnel sacré. Il est déjà important de le découvrir et de l’utiliser pour nous permettre d’être nous aussi des âmes ascensionnées par l’apprentissage sauvage et direct.

Notre calendrier personnel sacré, c’est cela qui s’effeuille quand nous sortons des sentiers battus, pour que Dieu nous sculpte, le calendrier nous facilite le tri des informations, nous régulons mieux grâce au grand livre de pierre inscrit dans notre structure adamique. Notre permission est celle d’agir contre volonté, contre notre propre volonté supérieure pour nous laissé guider par les dimensions les moins épurées. C’est pourtant par les processus d’épurations ( prières, méditations ) que la force divine s’émancipe par l’étreinte des corps. La Conscience est transcendance, le manque d’ancrage en notre source divine fait croire que c’est une tâche difficile, lointaine ou nécessitant de la souffrance. Ce que ne sait pas encore ce verrouillage c’est bien que nous sommes faits pour nous épanouir, par une lente maturation, notre intellect devient plus apte à appréhender et comprendre son existence. Quand une volonté de connaissance du soi, philosophique ou artistique éveille les parfums d’une existence, c’est l’âme d’enfant, pure et authentique, qui joue avec les inspirations divines en sommeil.

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Texte partagé par les Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre