Chère âme
Comme vous le savez peut-être – ou vous en souvenez peut-être – lors de la création du Groupe focalisateur de méditations mondiales en avril 2000, son objectif principal était de « focaliser l’attention et les énergies de guérison d’un nombre croissant de méditants dans le monde sur des situations et des crises ayant besoin d’une résolution pacifique et de secours spirituel ». Au fil des ans, le travail que nous avons collectivement accompli a évolué pour devenir plus centré sur ÊTRE les êtres rayonnants d’Amour que nous sommes fondamentalement en tant qu’âmes vivant une expérience physique sur cette planète incroyablement merveilleuse.
J’ai été fortement poussé intérieurement à relancer – du moins à cette occasion, pour la crise urgente suivante – l’objectif initial de ce groupe mondial d’âmes bienveillantes, et j’aimerais vous offrir la possibilité de faire vôtre ce pressant besoin intérieur et de vous associer avec d’autres personnes éprouvant le même désir d’apporter leur aide en cette heure de grand besoin. En dépit des nombreuses crises affectant notre monde, dont beaucoup sont provoquées par la dégradation constante de nos écosystèmes fragiles et pourtant si vitaux, il en est une qui requiert à la fois notre attention immédiate et nos énergies de guérison diligentes : le sort des âmes souffrantes incarnées au Yémen.
Comme vous l’avez sans doute entendu ou lu, des millions de personnes risquent de mourir de faim à cause de la guerre sans fin opposant diverses forces entraînées dans une brutale spirale de violence, apparemment sans fin. Jusqu’à récemment, relativement peu de gens dans le monde occidental étaient même conscients de ce conflit et de son lourd bilan mortel. Mais en raison d’une conjonction d’événements extérieurs – principalement le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi – et des appels à l’aide de plus en plus stridents lancés par des porte-parole des Nations Unies, une rare opportunité s’est ouverte sur une série d’événements susceptibles de conduire à un soulagement de la crise humanitaire au Yémen, et donc à la survie de millions d’êtres humains qui, sinon, périront de faim dans les semaines et les mois à venir.
Voilà ce qui se trouve devant nous, une chose pour laquelle nous POUVONS – ensemble !! – faire quelque chose. Mais cette présente ouverture à la possibilité de changements positifs au Yémen pourrait ne pas durer bien longtemps. Si nous saisissons ce moment et intervenons spirituellement, en tant que collectif d’âmes de bonne volonté joignant leurs forces et mobilisant le pouvoir rédempteur de l’Amour afin qu’au moins une trêve survienne suffisamment longtemps dans ce conflit pour que l’armée de bénévoles humanitaires prêts à distribuer de la nourriture puisse aller secourir les âmes les plus souffrantes, en particulier les millions d’enfants innocents actuellement sacrifiés sur l’autel sanglant de la belligérance impitoyable, alors nous sauverons probablement des millions de nos frères et sœurs de notre famille humaine des mâchoires cruelles de la mort.
Chaque vie est précieuse aux yeux du Créateur Source qui vit et respire à travers nous tous. Chaque parcelle de Vie sur Terre est connectée à toutes les autres. Nous sommes chacun la Toile de la Vie et, parce que, en tant que telle, nous voulons prendre soin les uns des autres, nous pouvons avoir une puissante influence pour faire en sorte que des changements apparemment miraculeux surviennent. Je vous prie de bien vouloir écouter en votre for intérieur la Source qui vous habite et de sentir que du sein de notre Unité avec Tout Ce Qui Est, nous pouvons contribuer de manière incommensurable à créer les conditions au Yémen qui permettront de faire une énorme différence positive dans la vie d’innombrables âmes.
Telle est la mission qui nous est confiée…
- Unissons-nous dans une méditation de cœur à cœur dans environ 48 heures, ce dimanche 25 novembre, pour une durée d’environ une heure, à l’heure locale habituelle de la méditation hebdomadaire, fixée globalement à 16h00 Temps universel/GMT – correspondant actuellement à 11 heures à Montréal et à 17 heures dans la plupart des pays européens. Pour les autres fuseaux horaires, veuillez consulter https://www.timeanddate.com/worldclock/fixedtime.html?day=25&month=11&year=2018&hour=16&min=00&sec=0&p1=0amp;p1=0.
- Soyons la Lumière que nous sommes venus être ici afin de guider les parties impliquées dans ce conflit vers la Terre promise de la Paix, de l’Amour et de l’Harmonie que toute l’humanité connaîtra un jour, une fois que nous l’aurons co-créée, à commencer par le Yémen et toutes les âmes contribuant de près ou de loin à nourrir les flammes dévorantes de ce chaudron de violence et de haine, ressentant au même moment l’émergence de la bienveillance et de l’Amour authentiques qui sont au cœur de chaque âme existante dans cet Univers vivant et sacré.
- Soyons les instruments de Sa Volonté.
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Vous avez jusqu’à dimanche pour diffuser ceci avec les moyens à votre disposition afin que le plus grand nombre d’âmes possible soit conscientes de cette occasion unique de s’associer à cette mission visant à sauver le Yémen. Ceci est archivée à http://www.earthrainbownetwork.com/FocusArchives/pdf/SauverLeYemen.pdf et sur Facebook à https://www.facebook.com/AwakeningKeys/posts/956230651254334
Une version anglaise est disponible à http://www.earthrainbownetwork.com/FocusArchives/pdf/YemenSalvation.pdf et sur Facebook à https://www.facebook.com/AwakeningKeys/posts/956201644590568
NOTE : Les informations suivantes, provenant de divers médias, sur la situation au Yémen et sur des questions connexes, ne sont fournies qu’à titre d’information générale si vous souhaitez connaître en détails ce qui se passe dans ce pays et en lien avec ce dernier. Veillez simplement à ce que rien de tout cela n’interfère avec le Travail qui se déroulera à travers nous en tant que communauté d’âmes dimanche prochain, lequel aura lieu à un niveau supérieur à celui où de telles conditions pénibles sont rendues possibles.
La famine aurait tué 85 000 enfants au Yémen (21 novembre 2018)
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1137228/yemen-famine-enfants-ong-save-the-children
La famine au Yémen pourrait avoir tué jusqu’à 85 000 enfants de moins de 5 ans depuis l’intervention de la coalition militaire conduite par l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis en mars 2015, selon un rapport de l’ONG Save the Children publié mercredi. L’enquête, qui s’appuie sur des données des Nations unies, parvient à la conclusion que 84 700 enfants souffrant de malnutrition aiguë ont peut-être perdu la vie entre avril 2015 et octobre 2018.
L’ONU prépare des négociations de paix sur le Yémen, théâtre de nouveaux combats (20 novembre 2018)
https://www.journaldemontreal.com/2018/11/20/lonu-prepare-des-negociations-de-paix-sur-le-yemen-theatre-de-nouveaux-combats
L’émissaire de l’ONU, Martin Griffiths, revient au Yémen avec l’espoir de préparer de prochaines consultations de paix en Suède même si les appels à l’accalmie sur le front militaire n’ont pas empêché de violents combats à Hodeïda, port stratégique essentiel à l’aide humanitaire. M. Griffiths, encouragé par de meilleures dispositions des rebelles et du gouvernement à négocier, est attendu à Sanaa mercredi selon son bureau à Amman. Cette information a été confirmée par des sources proches des Houthis, qui contrôlent la capitale. L’émissaire de l’ONU a appelé lundi les parties en conflit à « la retenue en vue de créer un climat propice à la tenue de consultations » de paix, après l’échec de plusieurs tentatives de mettre un terme à une guerre dévastatrice qui s’est intensifiée en mars 2015.
(…) La Grande-Bretagne a présenté au Conseil de sécurité de l’ONU un projet de résolution demandant une trêve à Hodeïda et le passage, sans obstacle, de l’aide humanitaire. Aucune date n’a été fixée pour le vote de ce texte, présenté après un rapport de Martin Griffiths qui a proposé la tenue de pourparlers à Stockholm.
L’émissaire de l’ONU a dit à la télévision Sky news qu’il tablait sur un démarrage des négociations « dans quelques semaines ». Et le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian a indiqué qu’elles pourraient avoir lieu « début décembre ».
En 2015, l’Arabie saoudite, voisine du Yémen, a pris la tête d’une coalition militaire pour aider le gouvernement Hadi à stopper une offensive des rebelles Houthis, soutenu par l’Iran, puissance régionale rivale du royaume saoudien.
Ce pays pauvre, en proie à la pire crise humanitaire au monde selon l’ONU, est quasiment divisé en deux, les forces progouvernementales contrôlant le sud et une bonne partie du centre et les rebelles Sanaa ainsi que le nord et une bonne partie de l’ouest.
Les Houthis opposent une résistance farouche à la coalition et multiplient notamment les tirs de missiles contre l’Arabie saoudite.
La guerre au Yémen a fait quelque 10 000 morts, selon l’ONU qui fait état de 14 millions de personnes en situation de préfamine.
Human Rights Watch (HRW) a de nouveau appelé à cesser les ventes d’armes aux parties impliquées dans le conflit.
HRW a demandé à la France, où est attendu mercredi le prince héritier d’Abou Dhabi, Mohammed ben Zayed Al-Nahyane, de cesser ses ventes d’armes aux Émirats arabes unis, autre pilier de la coalition militaire sous commandement saoudien qui intervient au Yémen depuis 2015.
« Si le président (Emmanuel) Macron est vraiment préoccupé par la crise humanitaire au Yémen, il devrait dire au prince héritier que la France cessera de vendre des armes aux Émirats arabes unis », a déclaré Bénédicte Jeannerod, directrice France chez HRW, dans un communiqué publié mardi.
Pour faire face à la crise alimentaire, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis ont annoncé mardi une aide supplémentaire de 500 millions de dollars en faveur des agences de l’ONU et des ONG travaillant au Yémen.
GUERRE AU YÉMEN : QUASIMENT TOUS LES ENFANTS ONT BESOIN D’AIDE HUMANITAIRE
https://www.unicef.fr/dossier/comprendre-la-guerre-au-yemen
Les enfants du Yémen souffrent quotidiennement des privations occasionnées par le conflit : le manque d’eau et de nourriture ainsi que les violences mettent en danger leur vie et les privent d’avenir.
Le Yémen est en proie à l’une des plus graves et des plus complexes crises humanitaires. La quasi-totalité de la population a besoin d’une assistance humanitaire, le conflit a provoqué des déplacements de population et des situations de famine, des fonctionnaires n’ont pas été payés pendant des mois, et les ports et les aéroports ont été rendus inaccessibles, ce qui a entravé la livraison d’aide humanitaire.
Pourquoi le Yémen est-il en guerre ?
Depuis 2014, le Yémen est déchiré par une guerre civile entre les rebelles chiites Houthis et le gouvernement d’Abdrabbo Mansour Hadi. Celui-ci a été élu en 2012 après la révolution yéménite et le départ du président Ali Abdallah Saleh. Une coalition menée par l’Arabie saoudite est intervenue à partir de mars 2015 aux côtés du gouvernement.,,Le conflit a transformé le Yémen en enfer pour les 11 millions d’enfants. Manque de nourriture, maladies, déplacements de population, et impossibilité d’accéder aux services essentiels sont le lot quotidien des Yéménites. Les plus jeunes paient le prix fort : entre janvier et avril 2018, 224 enfants ont été tués et 333 ont été mutilés à cause du conflit. Début 2018, on recensait la mort d’un enfant toutes les dix minutes ! Au Yémen, aucun endroit n’est sûr pour les enfants.
À quels problèmes font face les enfants au Yémen ?
Selon l’UNICEF, 1,8 million d’enfants souffrent de malnutrition, dont 400 000 luttent pour continuer à vivre. Plus d’1,1 million de femmes enceintes souffrent de difficultés semblables, ce qui met en péril la santé de leurs enfants avant même leur naissance. Le manque de nourriture, l’absence d’eau potable et les maladies contribuent à aggraver la situation.
L’effondrement des infrastructures sanitaires et d’accès à l’eau ont privé 8,6 millions d’enfants d’eau potable et des moyens d’assurer leur propre hygiène, tout en augmentant la possibilité que des maladies se répandent. Avec l’imminence de la saison des pluies, le choléra et la diarrhée pourraient se répandre de façon massive dans ce pays qui n’a plus les moyens de faire face à une crise sanitaire.
Plus de la moitié des installations de santé sont inutilisables en raison de l’absence de personnel ou tout simplement par manque d’argent. Les agents de santé ne sont plus payés depuis plus d’un an. La vie des enfants est en danger dès la naissance.
Comment aider le Yémen ?
C’est l’avenir et les perspectives de toute une génération qui sont mis en danger par le manque d’accès à l’éducation. Deux millions d’enfants ne vont pas à l’école, dont 500 000 depuis mars 2015 quand le conflit a empiré. 4,5 millions d’autres pourraient connaître le même sort car les enseignants ne sont plus payés. Pour agir de façon efficace, l’UNICEF a besoin d’infrastructures pérennes, de personnels de santé, d’enseignants et de travailleurs sociaux.
L’UNICEF réclame une solution politique immédiate pour mettre fin à la guerre au Yémen. Une solution négociée doit être trouvée par égard pour les enfants. Plus le conflit continue, plus il y aura d’enfants morts. L’UNICEF exige en outre que les graves violences faites aux enfants cessent : ils doivent être protégés et les attaques contre les civils, les écoles et les hôpitaux doivent prendre fin. Il n’est jamais justifié de tuer des enfants.
Que fait l’UNICEF pour les enfants du Yémen ?
Sur place, l’UNICEF prend en charge des enfants souffrant de malnutrition pour leur apporter les soins appropriés. Les enfants de moins de 5 ans sont accompagnés afin de bénéficier des soins basiques. Des installations sanitaires et de l’eau potable sont mises à disposition des personnes vivant dans les zones où des foyers de choléra ont été déclarés. Les enfants sont sensibilisés aux risques que représentent les mines anti-personnel et à la meilleure façon de les déceler. Du matériel scolaire est livré aux enfants pour qu’ils puissent reprendre leur scolarité.
Pour aider les enfants au Yémen, faites un don à l’UNICEF via https://don.unicef.fr/urgences/~mon-don
Meurtre de Khashoggi: Washington durcit le ton avec Riyad (12 novembre 2018)
https://www.ledevoir.com/monde/moyen-orient/541151/meurtre-de-khashoggi-washington-durcit-le-ton-avec-ryad
(…) Vendredi, le Washington Post avait rapporté que les États-Unis avaient décidé de cesser de ravitailler les avions de la coalition militaire sous commandement saoudien, mettant ainsi fin à leur soutien le plus concret en trois ans de conflit. Une première manifestation d’un virage diplomatique, confirmée, semble-t-il, par le regain de fermeté de Mike Pompeo dimanche. Le soutien logistique à la coalition était de plus en plus critiqué depuis le meurtre de Jamal Khashoggi. Le ministre américain de la Défense, Jim Mattis, avait déjà appelé récemment les belligérants au Yémen à cesser les hostilités. M. Pompeo avait lui aussi demandé précédemment que cessent les frappes aériennes de la coalition menée par Riyad « dans toutes les zones habitées du Yémen », une reconnaissance en creux des pertes civiles causées par ces bombardements.
RIEN DANS AUCUNE THÉORIE DU COMPLOT N’EST AUSSI MAL QUE CE QUI EST FAIT AU VU ET AU SU DE TOUS
https://www.facebook.com/EditionsAriane/posts/2196505197040310
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Texte partagé par les Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre
